1. Etage n°4


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, couple, parking, ascenseur, Oral pénétratio, tutu, totalsexe, Auteur: Low, Source: Revebebe

    ... exercer une pression un peu plus grande contre ton bassin.
    
    Tu comprends alors que je te donne l’autorisation d’accélérer. Tu jettes alors mon bonnet au sol, me tires par les cheveux et commences à accélérer. Je suis courbée, les fesses en arrière, les mains et la tête contre la paroi de l’ascenseur. Une de tes mains s’agrippe à mon ventre pour maintenir ton assaut. Je commence à gémir. La main qui était sur mes cheveux lâche son emprise pour aller sur ma bouche et me faire taire. Tout résonne ici. Je te mords. Je m’en fous qu’on nous entende. Je me mets droit comme i pour me rapprocher de ton torse, j’attrape ton visage à une main et je tourne ta tête pour t’embrasser. Je me plie brusquement pour que ta pénétration soit plus profonde. Tu as tes deux mains sur mes hanches. J’entends ton bassin claquer sur mes fesses, je sens le tissu de ton jeans m’effleurer le haut de mes cuisses.
    
    L’ascenseur bouge. Quelqu’un est en train de l’appeler. On se rhabille. Je récupère mon bonnet lorsqu’on arrive au RDC. Une femme et son enfant entrent. Ça doit sentir le sexe dans ce petit habitacle. Je n’ose pas les regarder ni te regarder. Je les vois appuyer sur le 7. Cette attente va être interminable jusqu’au septième étage.
    
    Avant que l’ascenseur ne se referme, je t’attrape par la manche et on sort de la cabine au RDC. Tu me regardes et tu ne comprends pas. Face à ton regard confus, je rigole et je te dirige vers les escaliers. On descend au sous-sol, je déverrouille la porte et ...
    ... t’y pousse.
    
    C’est un sous-sol commun à tous les habitants de l’établissement. Il est classique : lumière qui vacille, murs froids en béton, longs couloirs qui mènent à des portes métalliques donnant accès à des réserves privées plus ou moins grandes.
    
    Devant cette grosse et lourde porte métallique, juste devant l’entrée, je me mets à genoux. Je sors ta bite de son logement pour l’avaler. Je sens le goût de nos fluides sur ma langue. Je fais des va-et-vient rapides, m’arrête là où je t’ai le plus en bouche et fais tourner ma langue sur ton membre. Je caresse tes bourses. J’entends ton râle. Je libère la pression de ma langue, recommence des va-et-vient rapides. Je la sors, en lèche l’extrémité, puis recommence des va-et-vient. J’abandonne tes bourses pour te branler lorsque je te suce. Tu as retrouvé ta vigueur.
    
    Cette fois-ci, c’est toi qui ne peux plus attendre. Tu me relèves, me prends la main et on s’enfonce dans ce dédale de couloirs en béton. Après deux virages, tu enlèves totalement mon pantalon et mon tanga qui n’est plus qu’un simple tissu trempé. Tu me plaques contre une des portes gelées de tôle brune. Ta main est sur ma gorge. Tu m’embrasses. J’écarte les cuisses. Tu rentres très doucement cette fois-ci. Je peux sentir mes chairs s’écarter millimètre par millimètre sur ton membre. Je glisse ma main sous ton pull à la recherche de ta peau. Une fois au fond, tu ressors à moitié pour me donner des petits coups rapides. Tu ressors entièrement pour t’enfoncer à ...