Vive la retraite !
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
2couples,
hagé,
fagée,
voisins,
jardin,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
init,
entrecoup,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... encore raide, de David, elle récupère ce nectar avec les doigts et la langue.
David et moi retirons les bandeaux et je pose la question :
— Êtes-vous capables de nous dire qui vous avez fait jouir ? Anne ?
— C’est trop facile. C’est toi Jean que j’ai sucé et qui m’a comblée avec ton sperme. Ta queue est différente de celle de David et si j’avais eu un doute, ta semence parlait pour toi. La quantité, la façon d’éjaculer et surtout le goût sont différents. Et toi, Sylvia ?
— Je suis tout à fait d’accord avec toi En tout cas, j’ai pris mon pied.
— Moi aussi. Bravo mes chéris, je peux t’appeler ainsi, Jean, après ce que nous avons fait.
— Bien sûr. Prêtes pour la suite ? Allons dans la chambre, nous serons plus confortables.
Et je continue :
— David, une petite coupe ? Tu as peut-être soif ? Je ne le propose pas à nos femmes car elles viennent de s’abreuver à la source de la vie.
À ces mots, Anne qui marche devant moi, se retourne et dit en souriant :
— Tu sais Sylvia, nous sommes trop égoïstes. Nous gardons pour nous la semence de ces généreux mâles, il faut savoir partager.
Et m’enlaçant, elle m’embrasse sur la bouche. Je sens sa langue forcer la barrière de mes lèvres, explorer mon palais, jouer avec ma propre langue. Au même moment Sylvia éclate de rire et fait la même chose avec David. Elle rit car c’est une chose que j’ai toujours refusé de faire avec elle. Pourtant ce n’est pas faute de me l’avoir proposé maintes fois et à chaque refus, elle me ...
... dit :
— Et si moi je faisais la même chose ? Qui serait privé du plaisir d’éjaculer dans ma bouche ? Tu as de la chance que moi j’apprécie ton sperme, d’ailleurs c’est ridicule que tu n’essayes pas. C’est si bon, avec ce goût qui est à la fois si particulier et si différent à chaque fois.
Ce à quoi je réponds que moi j’aime lécher sa chatte et son anus pour recueillir toute cette humidité qui se mélange avec son jus. Et je reste sur mon refus.
Mais là, je me suis fait surprendre par le geste d’Anne et je peux nettement sentir cette odeur à la fois douce et acre que me décrivait Sylvia. Nos bouches se séparent et sans un mot, mais sous le regard narquois de ma femme nous montons à la chambre.
Le lit nous tend les bras et après avoir replacé leur bandeau nous allongeons nos maîtresses côte à côte, les fesses au bord, les jambes pendantes. Je commence par explorer avec les mains le corps de ma partenaire, ne négligeant aucune région mais en prenant bien soin d’éviter les zones érogènes. En même temps, je l’embrasse tendrement descendant lentement du cou jusqu’aux pieds, m’attardant vers le nombril, la douceur des hanches et surtout l’intérieur des cuisses. Anne n’est pas insensible à ce traitement car elle gémit doucement alors que sa peau frémit, parcourue par des vagues de frissons.
Alors je concentre mes caresses sur sa poitrine. La nature l’a gâtée car si ses globes sont imposants, mes mains ressentent cette fermeté que l’on retrouve chez la poitrine des jeunes ...