Vive la retraite !
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
2couples,
hagé,
fagée,
voisins,
jardin,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
init,
entrecoup,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... dans des endroits les plus inattendus. Certaines déclenchent de francs éclats de rire et à un moment, Sylvia, hilare, ayant du mal à reprendre son souffle dit :
— Oh, ce que j’ai chaud ! Pas vous ? Jean, sers-nous à boire. J’ai trop chaud, il faut que j’enlève ça.
Elle se lève et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, se débarrasse du slip et du soutien-gorge, puis se rassoit en disant :
— Voilà, c’est mieux, plus rien ne me gêne. Tiens, David.
Et elle lui pose les deux pièces de tissu sur les cuisses.
Une seconde nos hôtes sont surpris. Anne, pas dupe du prétexte de la chaleur, consciente que l’on vient de lui jeter un défi, se lève à son tour, quitte ses deux remparts symboliques et me les confie.
— Tu as raison, dit-elle. Et vous, les hommes ?
En un instant nos slips se retrouvent sur les cuisses de nos voisines. La conversation reprend comme si rien n’avait changé et le dessert expédié, nous retournons au salon.
Tout naturellement les femmes s’installent côte à côte dans le profond canapé. David fait face à ma femme alors que moi, de retour de la cuisine avec les cafés, je me retrouve face à son épouse. Nous sommes silencieux, conscients de l’érotisme de l’instant. Bien sûr, nous nous sommes déjà vu en photo, nus, le sexe à l’air, dans des positions torrides, mais avoir devant soi, à la portée du regard, presque à toucher, ces mêmes personnes, c’est complètement différent.
Naturellement nos yeux cherchent le sexe de l’autre, comparant ...
... en pensée avec celui de son compagnon habituel. Sylvia place ses mains sous ses seins comme pour les offrir, écarte ses cuisses pour se laisser visiter par le regard de David qui de son côté soulève sa verge et offre ses deux testicules. Anne et moi les regardons un instant et tout naturellement copions leur attitude. L’instant est magique, pas pornographique du tout, chacun s’offre aux autres.
Je romps cet instant de communion pour me saisir de deux bandeaux noirs que j’avais laissés à portée de main. J’en confie un à David et me dirige sans un mot vers Sylvia, qui se lève alors du canapé et avec sourire, se laisse priver de la vue. C’est un moment capital dans le scénario de cette soirée. Anne sait, pour l’avoir lu et approuvé, que les vrais jeux de l’amour commencent à partir de cet instant. Il ne s’agit plus de regarder, mais de toucher, de prendre, de se faire prendre par son mari mais surtout par un autre. Anne et David voient maintenant Sylvia me remercier et se rasseoir. David se dirige vers sa femme qui se lève. Un instant ils sont face à face et, oui, Anne se tourne pour lui laisser positionner le bandeau. Une fois terminé, il la fait se retourner et la prenant dans ses bras dit : « Merci ».
Nous positionnons nos deux femmes côte à côte, assises sur le bord du canapé. En nous plaçant face à elles nous présentons notre sexe à leur bouche. Anne, car c’est elle que j’ai choisie, place une main sur ma verge encore au repos pendant qu’avec l’autre elle me caresse ...