1. L'été, une piscine, une branlette, mon père, ma mère... (1)


    Datte: 15/04/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    Je m’appelle Théo, j’ai 19 ans tout juste.
    
    Ce jour là il faisait chaud. Je m’étais installé tranquillement dans le jardin, au bord de la piscine. En l’absence de mes parents je m’étais mis à poil et j’avais fait quelques brasses dans une eau délicieuse.
    
    Sortant de l’eau, je me séchai, puis je m’allongeai sur une confortable chaise longue. J’écartai les, jambes pour laisser le soleil réchauffer mon entre-jambe, ma queue, mes couilles. C’était le pied.
    
    Je me sentais vraiment bien. Je laissai alors ma main descendre vers mon pénis, le caresser doucement. Je descendis vers mes couilles. Deux jours avant je m’étais entièrement rasé, et à cet endroit ma peau était d’une douceur admirable. C’était particulièrement bon.
    
    Peu à peu mon sexe durcit, s’allongea.
    
    Je laissai alors mes doigts effectuer des va et vient réguliers, effectuant d’agréables pressions sur tout le corps de mon membre.
    
    Je regardai la petite fente au bout de mon gland. De là n’allait pas tarder à s’écouler, dans quelques minutes, une goutte de liquide pré-séminal qui allait lubrifier l’affaire très agréablement.
    
    Bref, je me régalais.
    
    Mais tout occupé à ma détente masturbatoire, j’ignorais que derrière une petite fenêtre de la cuisine, deux paires d’yeux curieux me regardaient.
    
    Il s’agissait de mes parents, qui discrètement cachés, ne perdaient pas une miette du spectacle.
    
    Ils étaient revenus du boulot plus tôt que prévu et mon père m’avait vu en regardant par hasard par cette ...
    ... fenêtre.
    
    Un papa normal aurait été gêné, et aurait détourné le regard. Mais lui non. A l’inverse il appela ma mère.
    
    — Mathilde, viens voir ! Dans le jardin, Théo est en train de se branler !
    
    — Ha mince, oui, en effet !
    
    — Tu l’avais déjà vu faire ça, toi ?
    
    — Non jamais...
    
    — En tous cas il a l’air de s’éclater. Il a vraiment une bonne queue. Très impressionnante ! Je ne savais pas qu’elle était aussi grosse.
    
    — Moi non plus, répondit ma mère.
    
    Mon père me regardait avec intérêt, et il faut bien le dire, une certaine fierté à avoir un fils si bien monté. Mais il y avait aussi de l’ambiguïté dans ses émotions. Il admirait ce bel objet d’une façon gourmande, il l’aurait volontiers pris dans les mains, le caresser, pour bien en évaluer les dimensions et le faire grossir encore.
    
    — Mathilde, ça ne t’excite pas, de voir Théo se branler comme ça ?
    
    — Philippe, tu es fou, c’est notre fils !
    
    — Et alors ? Tu n’as jamais eu ce fantasme, de faire des choses avec ton fils ?
    
    Ma mère dut réfléchir. Oui, parfois dans son lit, lorsqu’elle était seule, ou dans sa douche, il lui était souvent arrivé de rêver au beau membre de son fils, le voir au garde à vous, bien dur pour elle. Plusieurs fois, en s’imaginant s’en occuper avec douceur, elle avait senti une humidité dans sa culotte. Elle aurait pu nier. Mais elle choisit d’être honnête.
    
    — Oui ça m’est arrivé. Mais les fantasmes ce n’est pas la réalité, Philippe.
    
    Mon père resta pensif. Deux parents peuvent ils envisager ...
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