1. La visite des chauffagistes - 3


    Datte: 15/04/2022, Catégories: fhh, hagé, jeunes, couleurs, nympho, enceinte, fsoumise, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, bourge, Auteur: Bcbg, Source: Revebebe

    ... maman regarde le méat, œil de cyclope qui semble la fixer comme pour faire connaissance. Victoire, figée, se demande ce qu’elle doit faire.
    
    Elle a saisi qu’elle est sollicitée par le jeune pour qu’elle le suce. C’est un sentiment de crainte plus que le manque d’envie qui la pétrifie. Peut-être la peur de ne pas être à la hauteur, par manque d’expérience. Peut-être la peur d’être moquée si elle ne parvient pas à montrer, qu’elle aussi, Victoire de Saint-Cernin, bourgeoise classique, bon chic bon genre, est tout à fait capable de gober et accueillir la bite d’un homme dans sa bouche. De sa main gauche, le beur saisit l’arrière de la tête de Victoire pour l’attirer encore plus à lui.
    
    — Madame, s’il vous plaît, allez, prenez-moi !
    
    C’est d’une voix suppliante et presque sanglotante que le chauffagiste vient d’adresser sa demande pour que Victoire s’occupe de lui. En entendant cette supplication, la jeune femme ressent une sensation faite d’un mélange d’excitation et de triomphe. Elle ferme les yeux et ouvre ses lèvres pour former un rond. Le jeune ne se fait pas prier et introduit délicatement le gland à l’intérieur de l’ouverture ainsi formée pour ensuite cesser sa progression.
    
    Sous l’effet du plaisir procuré par le doux contact des muqueuses et de la chaleur de la bouche féminine, il ferme les yeux et ouvre ses lèvres sur un sourire de satisfaction.
    
    Au bout d’un court instant, Victoire, maintenant plus sûre d’elle, rassurée, se met à faire coulisser ...
    ... lentement ses lèvres autour de la tige dure comme de l’acier. Elle sent le goût salé du liquide émis par le méat, équivalent à celui que toute femme produit lorsqu’elle ressent un plaisir intense. Le jeune respire en sifflant et fait avancer et reculer son bassin lentement pour accompagner les caresses buccales.
    
    Victoire accueille la queue avec un plaisir allant crescendo. Le gland est comme un bonbon tendre dans lequel elle aimerait mordre. Le beur soupire, grogne, gémit comme un petit animal blessé. Victoire en ressent d’autant plus de satisfaction.
    
    Sans compter que l’autre, entre ses cuisses, n’en finit pas de dévorer son ventre, faisant un festin de tout ce que sa bouche et sa langue peuvent saisir, lécher, sucer, grignoter.
    
    Régulièrement, la jeune mère de famille sent le tonnerre gronder au fond de ses entrailles et elle ne peut freiner les vagues de jouissance qui surgissent alors.
    
    Le chef d’équipe doit s’en apercevoir, car il stoppe alors son repas comme pour accueillir l’écume produite.
    
    Victoire se montre plus entreprenante avec le jeune plombier en faisant sortir de temps en temps le gland de sa bouche pour l’agacer de petits coups de langue rapides et appliqués sur le méat, la crête et la surface lisse de l’obus. Le beur se cambre alors un peu plus à chaque fois et accompagne son coup de reins de grognements et petits cris.
    
    Jamais la jeune épouse n’aurait pu penser qu’elle serait capable de donner autant de plaisir à un homme et surtout dans de telles ...
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