Nous deux et un autre dans les bois (2) - Histoires de Sexe

Nous deux et un autre dans les bois (2)

... bite en main. Il a la main douce. Dans ma main, je sens qu’il est bien dur.

— T’aimes ça entre hommes ?

— Oui, je me suis fait branler plusieurs fois quand j’étais jeune !

— Tu aimais bien mon doigt l’autre jour, t’as envie ? Tu as envie que je te prenne dans le cul, moi j’ai envie de te baiser ?

— Oui... Prends-moi, sois doux, tu es le premier !

— Tu as jamais donné ton petit cul ?

— Non, viens mets là !

Je me suis retourné, j’ai pris la place de Josette, m’appuyant sur la même souche qu’elle. Il m’a pris par les hanches en s’accroupissant derrière moi. De suite, j’ai senti entre mes fesses sa langue qui me fouillait, m’enduisant le trou de salive, puis après quelques minutes de ce traitement délicieux, il s’est relevé et tout en m’écartant les fesses, il a mis sa queue entre elles, cherchant l’entrée. J’ai senti son gland venir sur mon anus enduit de sa salive. Il poussait en avant, il m’a ceinturé le bassin des ses bras et a poussé encore, faisant entrer un peu son gland.

— Pousse-toi aussi, elle va entrer, tu vas aimer ça mon chéri.

Il a poussé encore et j’ai senti son gros pieu commencer à m’investir. Mon ...

... anus distendu me brûlait un peu ; il a poussé encore et s’est entré complètement, j’ai senti son ventre frotter contre mes fesses. Par-devant, sa main fermée sur ma tige me masturbait lentement.

— Tu as eu mal ?

— Non pas trop ! c’est dur et chaud dans moi ! Elle est grosse ! (heureusement de parfois je m’étais masturbé l’anus avec des objets ménagers, sinon il ne serait jamais entré).

— t’aimes mon chéri ?

— Oui, oui, baise-moi fort, baise-moi bien comme tu as fait à Josette l’autre jour !

Il a commencé à me labourer tout en me branlant la bite. Il donnait des grands coups de reins et gémissant de plaisir. Cela durait de longues minutes, puis il m’a dit qu’il allait venir, que c’était trop bon de m’enculer. Je l’ai senti aller plus vite, puis ses poussées bloquées dans mes reins, les jets chauds de sa semence dans fesses. La mienne aussi sous ses caresses qui partaient dans le feuillage au sol.

Quand il s’est retiré, il m’a essuyé les fesses avec un kleenex. Il a voulu m’embrasser, mais j’ai refusé, ayant maintenant honte de ce que venais de le laisser faire sur moi, dans moi.

Je l’ai laissé là... je me suis enfui !