Alors, on joue...? (1) - Histoires de Sexe

Alors, on joue...? (1)

... malgré l’épaisseur du tissu. Toutefois pour l’aider, je déboutonnai ma braguette et offris mon membre nu et tendu à ses caresses. En guise de représailles, j’augmentai la fréquence des vibrations de son objet connecté, ce qui ne laissa pas Modeline indifférente: elle se redressa subitement sur sa chaise en étouffant un cri :

— Ah mon salaud ! Tu vas arriver à tes fins ! Cette situation m’excite tellement ! Vas-y encore !

Tout en disant cela, elle redoubla l’intensité de ses caresses sur mon membre ! L’extase était proche et la savoir à la merci de mon bon vouloir m’excitait davantage.

Je décidais de passer à l’intensité maximale !

Modeline se cambra sur sa chaise ! Elle ne pouvait retenir son souffle coupé par le plaisir et nos voisins de table commençaient à la regarder d’un œil curieux.

— Oh tu es diabolique ! Me lança-t-elle. Tu vas vraiment me faire jouir et devant tout le monde en plus.

Mais il n’y avait pas qu’elle, Modeline avait encore accéléré ses caresses ! Et moi aussi je luttais pour ne pas laisser entrevoir sur mon visage les signes de mon extase.

Elle agrippait ma main avec force, ses ongles bien enfoncés dans ma chair.

— Plonge tes yeux dans les miens me dit-elle. Je veux que tu perçoives ma jouissance au plus profond de mon âme !

Je pouvais voir l’intensité de son plaisir dans ses prunelles dilatées. Ses lèvres tremblaient, ses soupirs ...

... s’accéléraient... puis... dans un cri étouffé, elle se libéra les yeux dans les miens !

Modeline finit par s’effondrer tremblotante sur la table en étouffant des petits cris qui finirent par inquiéter définitivement nos voisins de table.

— Aaaah mon amour quelle extase m’as-tu donnée ! Viens maintenant, jouis à ton tour !

Elle intensifia alors encore ses caresses. Son regard, ses soupirs... je sentais l’orgasme monter irrésistiblement en moi. Les vagues de plaisirs me submergeaient, de plus en plus fortes.

Enfin, n’y tenant plus je me libérais à mon tour intensément ! Je me mordais les lèvres pour ne pas crier en m’agrippant à la table comme un marin sur son radeau de fortune et les yeux toujours plongés dans les siens.

Une fois remis de mes émotions, je constatais qu’une petite foule s’était attroupée autour de nous, les yeux apeurés et incrédules... Elle me souffla :

— Bravo, c’est la honte !

— Pas autant que moi, répliquai-je. Et encore, tu n’as pas une grosse tache de sperme sur ton pantalon toi ! Mais j’aime beaucoup ce nouveau gadget et je pense qu’il va bien être mis à contribution lors de mon prochain voyage. Es-tu partante pour cette nouvelle expérience ?

— J’aime beaucoup ton approche scientifique des choses... et encore plus être ton sujet d’expérimentation. Tu peux toujours compter sur moi et mon enthousiasme débordant ! Quand planifies-tu ton prochain voyage, dis-moi ?