Deux frères
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
campagne,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Najort, Source: Revebebe
... vigueur. Véronique, le nez enfoui dans l’oreiller, les mains crispées sur les draps, gémissait de plus en plus fort. Tel son grand frère, le plus jeune éjacula rapidement au fond des reins de Véronique, mais lui ne se retira pas : toujours planté en elle, il bascula sur le dos et la fit passer sur lui, lui maintenant de ses mains les cuisses largement écartées, exposant crûment son sexe béant, d’où s’écoulait un sperme blanc et épais, et son anus toujours empalé sur la verge toujours raide du jeune ; les doigts de ce dernier prirent possession du sexe luisant de Véronique, y allant et venant de plus en plus vite. Je regardais, hypnotisé, le corps que j’aimais tant empalé sous mes yeux, ondulant de plaisir, tandis que le plus âgé le mitraillait sans vergogne. Je me sentis de plus en plus excité et ma verge durcit à nouveau et se dressa vers le plafond. Le plus jeune invita son frère à venir le rejoindre. À nouveau en forme, ce dernier me tendit l’appareil photo, grimpa sur le lit entre les jambes de son frère qui maintenait ma femme écartelée et, sans plus attendre, s’enfonça dans le ventre luisant. Véronique eut un sursaut sous cette double pénétration, mais très rapidement je vis son plaisir revenir.
Les deux garçons, beaucoup plus résistants que lors du premier assaut, firent jouir ...
... Véronique comme jamais je ne l’en aurais cru capable. Devant ce spectacle d’une pornographie extraordinaire, je ne pus m’empêcher de prendre une puis deux puis de nombreuses photographies. Le visage de Véronique semblait transfiguré et lorsqu’à l’occasion elle me regardait, elle semblait ne pas me voir, les yeux comme dans un autre monde, tournés vers ce plaisir dément qui la faisait voguer d’orgasme en orgasme. Moi-même, j’étais hypnotisé par ces trois corps imbriqués, par ces deux sexes qui emplissaient ma femme et la faisaient jouir comme jamais je ne l’avais fait jouir. Elle hurlait son plaisir sans retenue, les yeux mi-clos, les mains crispées sur les fesses du plus âgé, tandis que le plus jeune malaxait violemment ses seins.
Elle se cambra brusquement en hurlant, les yeux révulsés, balbutiant « viens, viens » avant de s’écrouler contre le plus jeune à demi inconsciente : à nouveau, j’éjaculais sans pouvoir me retenir. Les deux frères continuèrent à pilonner pendant plusieurs minutes le corps inconscient de Véronique, avant de jouir l’un après l’autre et de se retirer, la laissant allongée en travers du lit, ventre impudiquement exposé, sperme s’écoulant de ses orifices béants. Ils passèrent devant moi ; le plus âgé me prit l’appareil photo des mains et ils sortirent de la pièce sans un mot.