1. Les fantasmes de la mère au foyer (4)


    Datte: 13/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... contenant les conversations qu’elle avait pris soin de faire suivre et d’imprimer en guise de preuve. Le visage de Gaétan blémit quand il comprit ce que sa femme avait découvert.
    
    — Depuis combien de temps tu me drogues ?
    
    — Ce n’est pas de la drogue, juste un petit aphrodisiaque. Un truc que j’ai dégoté sur un site chinois. Écoute ma chérie je suis désolé, je…
    
    — Je ne veux pas de tes excuses ! Comment as-tu pu croire qu’en me droguant à l’aphrodisiaque j’accepterai de coucher avec ton collègue ? Comment as-tu osé me vendre de cette façon pour une simple augmentation ?
    
    — Il allait m’augmenter de 200 par mois, juste pour pouvoir te baiser, je ne pouvais pas refuser !
    
    — Cette soirée la dernière fois était un coup monté alors ?
    
    — Je croyais que tu allais accepter ce soir là. Je pensais que le truc ferait effet, je le mettai dans ton café pour booster …
    
    — Et ça ne t’es pas venu à l’idée de m’en parler au lieu de faire tout ça derrière mon dos et pire, me droguer ? Avec un produit illégal en plus, qui aurait pu avoir de graves conséquences sur ma santé. Tu te rends compte !
    
    — Pardon, je n’ai pas réfléchi. Je pensais que tu serais contre cette idée. Mais alors du coup, ça n’est pas aphrodisiaque du tout ?
    
    — Oh si ça l’est, si je t’expliquai en quoi, tu ne me croirais pas.
    
    Sandra repensa à ces trois moments si intenses et les hommes qui y ont participé. L’un d’entre eux allait être la clé de sa vengeance et allait bientôt franchir le seuil de leur ...
    ... maison. Vingt heures. Voilà l’heure de sa punition.
    
    — Tu m’as menti et m’a trahi, fit-elle d’un ton solennel. Si tu m’aimes encore un peu, tu accepteras cette sentence que je vais t’infliger ce soir.
    
    — Tout ce que tu veux ma chérie, pourvu que tu me pardonnes.
    
    — J’ai fais venir un homme, très particulier. Il va me prendre sous tes yeux et toi tu resteras bien sagement assis ici. Est-ce que ça te convient ? Es-tu prêt à assumer tes actes ?
    
    — Je.. Quoi ? Faire participer un autre homme c’est faisable, mais juste te regarder faire c’est hors de question !
    
    — Et bien va, je ne te retiens pas. Mais si tu restes, tu auras interdiction de poser les mains sur moi.
    
    — Tu veux dire que tu vas quand même…
    
    — Évidemment ! Tu crois que je vais me gêner ? Je te rappelle que tu comptais me vendre à ton collègue Jérôme en échange d’une augmentation !
    
    — Tu es diabolique, finit-il par abdiquer en s’asseyant sur le canapé.
    
    — Attends, assied toi plutôt là, sur cette chaise que je puisse t’y attacher.
    
    — Des menottes carrément ?
    
    — C’est Ma vengeance, Mes règles.
    
    Il obtempèra, gardant un air renfrogné sur le visage. La culpabilité et la honte tenaient compagnie à sa jalousie et sa fierté blessée. C’est alors que la sonnette retentit et que sonna le glas de la sentence de Gaétan. L’homme qui entra dans la pièce était le grand brun rencontré au supermarché. Sandra avait recroisé sa route le matin même et y avait vu comme un signe. Audacieuse, elle lui proposa un café et ...
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