1. Une histoire ( pornographique) de famille... (5)


    Datte: 12/04/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... voulais à poil, là, devant nous, offerte nue aux trois gaillards affamés de sexe que nous étions. Je voulais que nous la prîmes sur la table, là, que nous la partouzions chacun notre tour, ou tous ensemble ! Que l’un s’occupa de sa bouche remplie d’une bite bien dressée et congestionnée, tandis qu’un autre lui bourinerait la chatte, que je devinais humide à n’en pas douter. Prendre Nadine, la mère de Xavier, devant son fils qui resterait amorphe pour bien respecter le deal que nous avions conclu tous les deux, en échange de sa "récompense future", m’excitait au plus haut point. Cette perspective me faisait même oublier la suite de mon récit sulfureux.
    
    Mais il fallait, pour obtenir libre accès au corps sulfureux de la jolie infirmière mature, la décider à se livrer à une débauche qui ne manquerait pas de suivre son striptease et sa mise à nue. Et pour cela, je devais encore plus l’exciter qu’elle ne l’était déjà. Je devais donc mettre les bouchées doubles dans mon récit, raconter les choses avec force détail vicieux, en y mettant le ton !
    
    Pas simple à l’évidence !
    
    Car je n’avais pas droit à l’erreur. L’occurrence d’avoir une Nadine disponible sexuellement, pour notre plus grand plaisir à tous, avec un Xavier en pleine connivence, ne se reproduirait sans doute jamais !
    
    Il était temps pour moi de reprendre mon récit, en racontant les nombreuses perversions et avanies que subit durant ce week-end-là, ma pauvre mère, en toute conscience et plein ...
    ... consentement !
    
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    Marlène toujours nue, se leva doucement du lit, laissant ma mère, alanguie sexuellement, et attendant avec ferveur les autres idées salaces de sa belle-sœur... idées qu’elle lui avait murmurées doucement à l’oreille, si bien que je n’avais rien entendu.
    
    Pourtant au-delà de son excitation, je la sentais un peu tendue, voire nerveuse... qu’avait bien pu lui murmurer Marlène à l’oreille ?
    
    Je ne fus pas long à le comprendre, car après avoir fouiné trois minutes dans un tiroir tout en bas d’une commode, elle en sortit des objets, qu’elle présenta victorieusement à sa "proie", avec un sourire carnassier.
    
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    A ce moment précis de "l’action", le téléphone de Nadine sonna... celle-ci dans un geste d’inconscience coupable, décrocha automatiquement et devint livide au bout de deux minutes.
    
    — Nadine, que vous arrive-t-il, vous êtes toute pâle tout à coup ? demandai-je, soudain inquiet.
    
    — Régine, ma belle-mère... la mère de mon mari...
    
    — Oui, ça je m’en serais douté, lui rétorquai-je, abrupte, et bien ?
    
    — Elle... elle arrive... elle est ici dans moins d’une minute !
    
    — Oh putaaaaainnnnn !! couina lugubrement Greg, qui voyait ses espoirs... et les miens... de partouze s’envoler !
    
    Tous, nous regardions les uns les autres, sidérés, ulcérés, dépités, ne sachant quoi faire ou quoi dire... quand Lucas demanda :
    
    — Bon alors, elle avait quoi dans la main ta tante ? 
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