Nymphomane, moi ? Tome III (22)
Datte: 11/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
Le lendemain, on se remit au travail, mais il y avait tellement d’artefacts que l’on n’avançait pas.
— Cela ne me plaît pas trop, mais je crois qu’il va falloir que je demande de l’aide auprès de l’Emir, pour qu’il nous envoie du renfort pour emballer tout ça !
— Et pourquoi, cela vous pose-t-il un problème demanda Alfred.
— Ce monsieur, a été élevé en Europe, il fait fi des traditions musulmanes, et n’applique les coutumes que si elle lui rapportent du fric. Il est très fantasque, il ne faut surtout pas le contrarier, sinon il est capable de dire que c’est sa découverte et de garder une partie du trésor ! Et vous savez dans ces contrées notre parole par rapport à la sienne ne vaut pas grand-chose.
Il prit contact par radio et des ouvriers et de camions arrivèrent. Sous les ordres d’Alfred, tout fut inventorié, étiqueté, emballé. Le convoi fit route vers le palais de l’Emir. Amar nous le présenta.
Il était très basané, pas très grand, assez enrobé. Des petits yeux cruels, lui donnaient l’air de quelqu’un qui ne souffre pas d’être contredit. Notre guide fit les présentations.
— Voici son excellence Bouka, sa femme Eddah et leur secrétaire monsieur Abam... Je vous présente Alfred Delaroux, archéologue français de renom et mademoiselle Trixie sa secrétaire.
— Bien, très bien dit Bouka. Vous apportez deux trésors avec vous, dit-il en me regardant avec des yeux de velours ! Mais j’ai fait préparer un succulent repas français pour vous, vous devez mourir de ...
... faim mademoiselle, et vous aussi Monsieur ! Mais allez-vous rafraîchir et changer de vêtements avant de passer à table.
Ses yeux faisaient sans discontinuer des allers et retours de ma poitrine à mes jambes. A chaque poignée de mains, le décolleté de ma robe avait tendance à s’écarter et à dévoiler un peu plus mes aréoles. Bouka s’en était aperçu et il me secoua la main jusqu’à ce qu’un téton se dévoile, un large sourire s’épanouit alors sur son visage. Alfred m’accompagna jusqu’à ma chambre.
— Tu vois, j’ai eu raison de te faire prendre des habits de soirée, tu vas les mettre pour l’éblouir ! J’ai l’impression qu’il en pince pour toi ! Il faut le mettre dans notre poche, alors porte-jarretelles, etc... C’est une découverte extrêmement importante que nous avons faite là ! Il ne faut pas se la faire spolier ! IL va falloir que je prenne contact avec le gouvernement tunisien.
Je lui obéis et passai la robe de soirée noire que je mettais souvent, lors de nos dîners en tête-à-tête. Elle était retenue par de fines bretelles sur les épaules. Il n’était pas pensable de porter un soutien-gorge en dessous. Je nouai mes cheveux Châtains dorés presque blonds en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornèrent mes oreilles et j’accrochai un collier du même genre à mon cou. Des deux cotés, la robe était fendue très haut sur les cuisses. Chaque mouvement laissait apercevoir une bande de peau blanche, au-dessus de mes bas ...