1. Ma collègue Manon et Moi (3)


    Datte: 11/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Littlescamp, Source: Xstory

    ... dorénavant, ça n’avait plus d’importance. Car elle était mienne. Je la possédais entièrement.
    
    En repensant à tout ça et en prenant du recul avec ma pensée et la situation, j’ai eu soudainement un regain de fougue. De ma main droite, je caressai alors sa fesse de nouveau avant d’infliger à Manon une petite fessée.
    
    — T’aimes ça garce !
    
    Manon se mit à crier.
    
    — Oh oui, OUI ! Punis-moi, je suis une vilaine fille !
    
    Nous venions de rentrer dans la dernière phase. Mes coups de reins se faisaient de plus en plus violents.
    
    J’agrippais désormais ses cheveux de nouveaux.
    
    — Oh que c’est bon de te baiser Manon ! Oh qu’est-ce que tes bonnes.
    
    Elle aimait que je dise son prénom et mon accélération semblait aussi faire son effet chez elle.
    
    J’étais désormais au maximum de mes capacités physiques.
    
    — Baise-moi ! Oui, continue. Encore !
    
    — Oh putain, oh je vais jouir en toi.
    
    — Ouiiii, vas-y !
    
    Puis nous avons senti, comme connectés, la jouissance monter. Je sortis mon sexe au dernier moment et pris de violents spams, j’éjaculais dans un très long orgasme une importante quantité de sperme sur ses fesses. Exténué, je me reposai au-dessus d’elle. Je lui fis un bisou sur la joue avant de lui dire merci. Mais ce merci n’était plus le même que ceux que j’avais pu lui dire la veille, dans sa salle de bain. C’était un merci sincère après un moment de connexion pure entre deux êtres. Manon s’écroula à plat ventre contre le matelas, essoufflée et satisfaite. Comme je me reposais sur elle, je m’écroulai aussi. En riant un peu de nos bêtises, je lui murmurais :
    
    — J’aimerais beaucoup que ça ne soit pas la dernière fois.
    
    — Ça on verra tête de pioche ! Mais... Mon Dieu que c’était bon !... Maintenant, va-t’en, avant qu’il ne rentre !
    
    Je restai quelques instants contre elle puis je repartis chez moi, environ un quart d’heure plus tard, serein, la tête et les couilles vidées avec une seule question en tête : quand recommencerions-nous ?
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