Divine compagnie (1)
Datte: 10/04/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
Cela commence un dimanche soir. Après avoir royalement célébré mon anniversaire, 34 ans et toutes mes dents, je rentrais de chez mes parents après une journée pleine d’humour, d’un bon repas et de quelques vins dont mon père a seul le secret. Ma voiture stationnée sur le parking de l’immeuble, je décide de faire un dernier tour afin de profiter de ce magnifique ciel étoilé en ce mois de juillet.
Le tour n’était pas grand, me rendre dans le square et y fumer un dernier petit cigare en amateur éclairé. J’étais à peine à l’entrée, que loin devant moi, trois personnes arrivaient en face, par l’autre entrée. À voir les silhouettes, nul doute qu’il y avait un homme et deux femmes. Des femmes, je pouvais dire que l’une était relativement petite, fine, bien faite et l’autre, bien plus grande, la dépassait d’une bonne tête et était tout aussi belle dans les formes que sa compagne. Quant à l’homme, il semblait très distingué.
Quand le trio passait sous un lampadaire, je pus voir que l’homme était dans une tenue de soirée, pas ses compagnes. Assis sur un banc, je me suis allumé mon cigare, un pur havane roulé sur une cuisse nue. Mon allumette éteinte, le trio était tout proche, avançant lentement.
Quand je me suis tourné vers eux, je suis resté bouche bée. Je dirais même paralysé devant ces deux superbes grâces. Si elles n’étaient pas entièrement nues, c’est qu’elles portaient chacune le même petit corset qui soutenait leurs poitrines. Leurs jambes étaient gainées de bas ...
... auto-fixant sans que je n’en sache la matière. À leurs pieds, des talons aiguilles noir et brillants. Au cou, un serre-cou de velours, du moins c’est ce que je supposais pour la matière.
Le trio avançait lentement. L’homme avait sa bite à l’air, tendue à mort. En plus, il tenait aussi une laisse dans chaque main. Ce qui me surpris le plus, c’était l’endroit du corps des deux femmes où étaient fixées les laisses : à un anneau sur leur sexe. Ils passèrent devant moi, l’homme inclina sa tête, je lui rendis son salut. La plus petite des deux femmes m’adressa un petit clin d’œil coquin et un sourire tout aussi espiègle. L’autre regardait droit devant elle, fière dans sa démarche. Je crois même qu’elle rougissait. Le tout n’avait pas duré plus de cinq ou six minutes quand le trio disparut de ma vue.
Si vous vous demandez dans quel état j’étais, je ne peux nier que la petite m’avait fait avoir une de ces érections qui vous fout sur le toit. Cela dit, j’ai tout de même pris le temps de fumer mon cigare. C’est en expirant la fumée de mon cigare que j’ai encore réalisé que ces deux femmes étaient maquillées, très soigneusement, sans que cela ne soit trop. Si je m’en suis souvenu, c’est à cause du clin d’œil de la plus petite des deux. Par contre, je ne suis jamais parvenu à me souvenir de leurs coiffures.
Après une bonne petite heure, je me suis levé pour rentrer. J’avais le temps, demain je serai en congé.
Devant mon immeuble, je pris un peu de temps pour regarder ces étoiles ...