1. La leçon de piano


    Datte: 10/04/2022, Catégories: fh, fplusag, jeunes, profélève, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme init, prememois, Auteur: Estudine, Source: Revebebe

    L’accord final contenait à lui seul toute la sonate. Il le joua mezzo forte comme écrit sur la partition. Il laissa résonner le piano quelques secondes, retira ses mains du clavier et s’immobilisa. Espérant une réaction de sa professeure, il attendit un court moment puis se retourna sur son tabouret. Elle s’était avancée jusque derrière lui lors de son exécution et voilà qu’il se retrouvait à un mètre d’elle, le regard en face de sa poitrine !
    
    Il avait souvent pensé à ses seins qu’il devinait superbes, fermes, mais toujours maintenus par des soutiens-gorge qu’il savait souvent blancs et toujours en dentelle. C’était encore le cas aujourd’hui, impossible de le nier, son corsage blanc et très fin dessinait parfaitement le sous-vêtement, et en laissait découvrir les détails aux endroits de contact : le dessus des seins, sous les bras… D’aussi près, le spectacle était magnifique.
    
    Elle le laissa contempler le paysage qu’elle savait pour lui enchanteur puis, par un élégant pas en avant, lui pris la tête entre les bras en disant :
    
    — C’était bien, très beau, tu finis l’année sur une très belle interprétation.
    
    Il se retrouvait la tête entre ses seins, envahi de son parfum profond, et murmura plus au décolleté qu’à celle qui le portait :
    
    — Merci, c’est gentil.
    
    Elle n’entendit pas exactement ce qu’il avait dit, mais en compris le sens et, en guise de réponse (à la fois maternelle et voulant l’encourager), l’enserra encore plus entre en ses bras, lui plaquant le ...
    ... visage contre sa poitrine, les joues contre ses seins. La chaleur parfumée qui s’échappait de cet endroit l’envahit tout entier, faisant naître un trouble intense qu’il n’avait encore jamais ressenti.
    
    Il ne savait que faire de ses bras ; les laisser pendre, remonter les mains sur le tabouret sur lequel il était toujours assis ? Il se décida à en entourer les hanches de sa professeure en un geste symétrique à celui qu’elle exerçait à sa tête. Elle sourit pour elle-même, se disant que, décidément, il apprenait vite. Il n’osait bouger, percevant sa lente respiration et, à travers le corsage, les odeurs mélangées de son parfum et de sa peau.
    
    Il prit son courage à deux mains et commença à lui caresser le dos en se disant que si cela la gênait, elle saurait le lui indiquer. Sans réaction négative de sa part, il poursuivit son exploration en descendant lentement, très lentement. Après avoir passé la ceinture de la jupe, il poursuivit et, ô sublime surprise ! perçut l’élastique de la culotte à travers le fin tissu de la jupe. Il s’immobilisa aussitôt, car un frisson venait de parcourir le corps qu’il tenait entre ses bras ! Il s’enhardit à le longer, passer au-dessus, repasser au-dessous, elle avait l’air d’apprécier. Descendant sa main vers les deux globes qui semblaient la réclamer, il commença à caresser ses fesses. Il s’aperçut que s’il appuyait légèrement plus, ce n’était plus la main qui parcourait le galbe tendu, mais, sensation extrême, la jupe faisant corps avec sa main ...
«123»