La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1540)
Datte: 10/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1539) -
Chapitre 13 : Une mise au point nécessaire ! -
- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !…
Un peu plus tard, dans cette voiture me ramenant au Château, j’étais totalement exténué, anéanti, en ruine. Monsieur le Marquis ainsi que Monsieur Jean avaient usé et abusé de mon corps servile, de mon mental, servile aussi, en alternance ou ensemble, tout au long de la matinée et de ce début d’après-midi. Je n’avais pas eu un moment de répit… Sans relâche, sans se préoccuper de mes atermoiements, sans interruption, ils s’étaient divertis faisant de moi une loque humaine, une épave, une chose, un simple objet sexuel, je n’étais plus que deux trous à combler, bouche et anus à remplir, à se vider les couilles sans modération, à jouir de et dans mes orifices d’esclave, à se soulager la vessie aussi ayant servi également d’urinoir… Bref j’étais en lambeau et avais le cerveau en vrac !... Heureusement, il y avait eu ce temps, juste avant notre départ, où le Maître m’avait accordé un peu de douceur. Dans une baignoire remplie d’eau chaude et pleine de mousse, tous deux dedans, il m’avait longuement lavé, comme on laverait son chien, puis m’avait autorisé à m’appuyer contre Lui pour me détendre un peu. Il m’avait caressé longtemps. Il m’avait ensuite ordonné de m’étendre sur un lit…
Là, sur le matelas, il m’avait massé tendrement, le dos, les ...
... cuisses, les fesses, l’anus avec un crème apaisante. A cet instant, je me souvenais encore de mes soupirs, je me remémorais de ces moments de sensualité intenses, de ces papillons dans mon estomac… Une fois encore, d’une autre manière je m’étais abandonné à son pouvoir, à sa séduction naturelle, à ses mains passant et caressant mon corps nu ! J’étais devenu Son esclave et je me sentais totalement être à Lui. Je me sentais être sous Ses caresses baladeuses et lentes être aussi Son amant, enfin j’avais cette sensation et cela me faisait battre le cœur de bonheur. Le Châtelain savait Dominer, mais il savait aussi aimer, aimer sensuellement, tendrement, surtout quand il décidait sous Ses caresses intimes de m’embrasser sur la bouche longuement, passant Sa langue autour de la mienne et de me faire l’amour. Il me prenait cette fois-ci comme un amant et pas comme une chose… Donc ce matin-là, j’avais été Son objet sexuel et ensuite Son compagnon de lit, pour un instant que je n’oublierai jamais…
Le ciel était gris, il pleuvait, l’orage grondait. Avec lucidité cette fois-ci, je m’inquiétais réellement. « Pourvu qu’il ne grêle pas » pensais-je ! Combien de fois ces orages d’été avaient anéanti le travail viticole d’une année. La vendange s’annonçait belle, en un rien de temps, elle pouvait être réduite à néant. Monsieur le Marquis, Lui aussi semblait soucieux, car maintenant, de petits grêlons claquaient contre le parebrise du véhicule. « Eh zut ! » lançait-il à haute voix… Sous des ...