Madame Jade et aline, soumise mâle laineuse. (3)
Datte: 10/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: aline soumise mâle, Source: Xstory
Aujourd’hui, Madame m’a demandé d’être à 10h précises, dans la ville où Elle réside, devant son bar de prédilection. Je suis arrivée un peu en avance et je n’ai pas eu à L’attendre puisqu’Elle est arrivée à l’heure. Elle m’a demandé de La suivre dans un parc voisin et nous nous sommes assises sur un banc pour discuter tandis que, à la moindre averse, j’ouvrais mon parapluie pour la protéger de la pluie. Nous avions quelques mises au point à faire sur notre relation et nous avons su nous entendre, ce qui m’a ravie et rassurée autant qu’Elle. Mais, pour avoir déçu Ma Maîtresse suite à un message que je lui avais écrit la veille et qu’Elle n’a pas apprécié, Elle m’a interdit de boire mon verre de vin habituel, chaque fois que je mangerais seule chez moi comme en dehors des repas, et ce jusqu’à la fin du mois, ce qui correspondait à vingt-sept jours.
Madame m’avait donné comme consigne d’apporter un pull et un pantalon en laine que j’avais mis dans mon sac et j’ai cru un moment qu’Elle me demanderait de me changer dans un coin discret du parc puisque nous avons tourné quelques minutes dans cet espace. Ce ne fut pas le cas, mais je L’imagine capable d’une telle demande et je ne saurais faire autrement que La satisfaire, car Elle est Celle en qui je crois. Sa bienveillance me surprend depuis notre première rencontre. Toujours est-il que nous avons pris mon véhicule et qu’Elle m’a guidée jusqu’au milieu de vignes où, de toute évidence, nous serions tranquilles.
Madame m’a ...
... demandé de me changer et donc d’enfiler mes effets laineux. Une fois vêtue comme elle l’entendait et après avoir paré mon cou d’un collier de cuir noir, Elle a posé les pinces japonaises, celles qu’Elle semble préférer, et reliées par une chaînette, sur mes tétons. J’apprécie toujours cet instant, surtout la morsure qui se diffuse dans ma poitrine suivie du pull rabattu sur ces accessoires métalliques venant se prendre dans les mailles. Une fois sorties de mon camping-car, Madame a fixé une laisse à mon collier puis m’a conduite sur un chemin pénétrant dans les vignes. Après une trentaine de mètres à marcher à Ses côtés, l’ordre de poursuivre la promenade à quatre pattes est tombé. Je me suis aussitôt exécutée pour continuer cette promenade dans l’herbe humide, en chienne docile, obéissante et comblée.
Après nous être suffisamment enfoncées dans les vignes et après avoir joué avec la chaînette des pinces sur laquelle Elle s’est amusée à tirer à plusieurs reprises, posant parfois fermement Ses mains sur ma poitrine endolorie, Madame a exigé que je m’allonge de tout mon long à même le sol et que je colle mon visage par terre. Elle s’est assise sur moi, a relevé ma tête pour que je puisse prendre en bouche les brins d’herbe qu’Elle coupait afin que je les mâchouille. J’ai exécuté cette consigne sans rechigner tant elle était originale, bienvenue dans le contexte. Elle m’a alors demandé de cracher cette herbe que j’avais mastiquée pour plaquer ensuite mon visage dans ce que je ...