1. J'ai trouvé. C'est lui (1)


    Datte: 15/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Mshexp, Source: Xstory

    ... des bas autofixants à genoux la bouche ouverte.
    
    — Nooooooooooon tu déconnes ?
    
    — Je te jure ! j’avais trop envie de jouer la soumise et de lui faire savoir.
    
    — Et alors qu’elle a été sa réaction ?
    
    — Il ne s’est pas dégonflé. Il a fermé la porte et sans un mot, il a ouvert sa braguette et m’a enfilé sa queue dans la bouche.
    
    — Sans déconner ?
    
    — Il a pris ma tête avec ses deux mains et m’a littéralement baisé la bouche jusqu’à jouir dans ma bouche et m’a ordonné de tout avaler ...
    
    — Et tu l’as fait ?
    
    — Tu m’étonnes, j’aime trop son foutre.
    
    — Je te jure Sophia, tu abuses et ça te plaît de servir d’objet sexuel ?
    
    — Avec lui ? J’adore ! En plus, il ne lui a pas fallu plus de 5 minutes pour reprendre des forces et me prendre en levrette sur ma table basse, je te dis pas ce qu’il m’a mis (dans tous les orifices en plus) et comment j’ai joui, ce mec est une bête de sexe !
    
    — Ah làlà Sophia, tu peux m’épargner les détails stp ?
    
    — Pourquoi ? Qu’il y a-t-il de mal à aimer se faire racler les orifices par une belle grosse queue ?
    
    — Tu fais exprès de parler comme cela pour me mettre mal à l’aise.
    
    Sophia éclate de rire.
    
    — Ben oui, n’empêche que tout est vrai.
    
    Nous continuons à papoter pendant encore une heure, puis Sophia décide de partir.
    
    Quand je me retrouve seule, je suis quand même un peu troublée par ce que m’a raconté ma copine, je trouve cela assez humiliant d’être traitée ainsi, mais c’est Sophia qui en ait à l’initiative et je me dis ...
    ... que finalement c’est bien de sa propre volonté qu’elle agit ainsi.
    
    Lundi matin, je suis d’humeur joyeuse, gaie comme un pinson. Je me prépare devant la glace et enfile une robe légère. Ce n’est pas dans mes habitudes, je préfère souvent un pantalon, mais le printemps montre le bout de son nez et cela me donne envie de légèreté.
    
    J’arrive au bureau et contrairement à d’habitude, mon PDG n’est pas dans le sien.
    
    C’est comme si d’un seul coup, ma joyeuse humeur s’était envolée. Je m’enquiers discrètement de son absence au motif d’un détail à valider en urgence et j’apprends qu’il est en déplacement jusqu’à mardi soir.
    
    C’est la douche froide et je ne l’ai pas vu venir.
    
    Comment cette nouvelle peut-elle à ce point affecter mon humeur ?
    
    J’essaie de me ressaisir intérieurement. « Qu’est-ce que tu crois, ce n’était qu’une soirée et tu te fais des idées comme une gamine de 16 ans. Non, mais Laura réveille-toi, c’est ton PDG, voilà tout. Arrête de tirer des plans sur la comète ».
    
    Pour oublier cette déception, je me plonge dans mon travail.
    
    Le mercredi matin, en arrivant au bureau, Benjamin est là. Je l’observe travailler.
    
    Un peu plus tard dans la matinée, il vient me saluer comme tous les autres collaborateurs sans faire aucune allusion à la soirée de vendredi.
    
    Je suis déçue. « Voilà, maintenant tu es fixée, tu as une relation professionnelle avec lui, c’est ton PDG, passe à autre chose ».
    
    Mais je ne cesse de l’observer dans son bureau.
    
    Vers 17h00, il ...
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