1. Série « Les voisins » Épisode 8 : Sébastien parvient à baiser sa belle voisine cougar Brigitte


    Datte: 08/04/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... faire partie du passé, nous n’étions plus si proche qu’auparavant mais nous nous reparlions un peu. Ce ne fut qu’après la naissance d’Anaïs que Brigitte s’était de nouveau libérée de tous les remords qu’elle avait pu avoir. Devant faire des courses en ville, ce fut elle qui s’était proposée pour m’amener à la gare, lorsque j’étais parti à l’armée. En 1998, je me souviens, après cette très longue période d’absence quand j’étais rentré, elle m’avait serré très fort dans ses bras et m’avait fait une petite bise dans le cou, tellement elle était heureuse de me revoir.
    
    Notre étreinte en bas de l’immeuble, avait duré longtemps, je me demande si elle n’avait pas ressenti mon érection tant mon excitation fut forte à son contact car elle me dit aussitôt : « Excuse-moi Seb ! Je te laisse aller voir ta mère. » J’avais appris ce soir-là que depuis la naissance d’Anaïs Marc et Brigitte ne s’entendaient plus comme avant. Son mari qui ne buvait que les week-end était de plus en plus ivre même en semaine. De mon côté, je passais de moins en moins souvent chez mes parents, j’avais trouvé un travail et une copine chez laquelle j’avais pris mes quartiers. Pendant deux ans, lorsque je venais dans l’immeuble et que je croisais Brigitte, celle-ci était très tactile et quand elle me faisait la bise, ses lèvres restaient collées longuement sur mes joues.
    
    Elle m’avait dit qu’elle s’ennuyait depuis le départ de Sylvain à Paris. Elle n’omettait jamais de me proposer de venir lui rendre visite ...
    ... quand j’étais de passage et me faisait toujours quelques petites allusions gentilles, telles : « Tu es beau Seb, tu es devenu un homme maintenant. » ou Ça se passe bien avec ta copine ? » ou encore « Si tu as envie de parler, n’hésite pas. » Je me doutais bien que cette femme était en mal d’amour, elle était beaucoup moins souriante, elle avait perdu sa joie de vivre et je supposais que Marc, n’étant plus le même, en était la cause.
    
    En février 2000, je mangeais chez ma mère, je devais retrouver ma copine dans la soirée. Brigitte, dont le mari était parti une nouvelle fois en bringue et Anaïs dinaient avec nous. Vers 22 heures, la petite dormais dans le canapé, quand Brigitte décida de partir en même temps que moi :
    
    — Seb ! Tu peux porter la petite dans sa chambre ? Ça m’embête de la réveiller.
    
    — Pas de problème Brigitte. À plus maman. Dis-je à ma mère en l’embrassant avant de prendre Anaïs dans mes bras.
    
    Après avoir ouvert sa porte, Brigitte me fit passer devant, tout en posant ses mains sur ma hanche puis m’indiqua la chambre de la petite. Étant déjà en pyjama, je la déposai sur son lit. Brigitte frotta sa cuisse contre la mienne pour la couvrir en me disant que j’étais un chou. Je m'apprêtais à quitter son appartement, lorsqu’elle me remercia et me proposa de boire un verre au salon. J'acceptais volontiers, je savais bien ce qu’elle voulait car pendant tout le repas, elle me fit les yeux doux, cela ne m’avait échappé. Ce qui me gênait, c’était la promesse que nous ...
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