1. Recalée de Parcoursup


    Datte: 07/04/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... le temps de voir l'étudiante précédente être emmenée, je me relevais et me précipitais pour forcer la porte, mais elle avait été fermée à clef. J'étais coincée! Je fis le tour de la cellule, cela me prit dix secondes... Elle faisait trois mètres carrés de superficie, avec juste un lit miteux et un trou servant de WC. Je me mis à hurler à l'aide, et comme personne ne venait je me mis à vociférer des insultes :
    
    « Salauds! Je vous ferais mettre en prison! Connards! Enfoirés! Libérez-moi! »
    
    Tout ça sans le moindre résultat. Au bout d'une heure, j'avais la gorge sèche et finissais par me taire. Au bout de quatre d'heure d'enfermement, j'entendis un clic ; comme quelque chose qui se déverrouillait. Je surveillais la porte prête à foncer dessus, mais ce fut un petit panneau inférieur qui s'ouvrit par lequel fut glissé un plateau avec une miche de pain et une bouteille d'eau en plastique. Je bus l'eau, mais laissais le pain. Je ne voulais pas entrer dans leur jeu, ils seraient forcés de me faire sortir d'ici si je refusais de me nourrir...
    
    Deux heures plus tard, la porte s'ouvrit enfin, je me jetais dans l'ouverture, espérant m'enfuir, mais trois hommes imposants en costume cravate m'en empêchèrent. Ils formaient comme une muraille devant moi. L'un d'eux demanda :
    
    « Alors tu as fini ta crise?
    
    — Ma crise!?
    
    — Tu vas te comporter comme une bonne élève?
    
    — Une ÉLÈVE?! Vous voulez dire, comme une PUTE! Jamais!
    
    — très bien... »
    
    Un des hommes sortit un ciseau, les ...
    ... deux autres me maintenant immobile alors que je me déchaînais pour les faire lâcher prise. Je vis mes boutons de mon chemisier sauter les uns après les autres dévoilant progressivement ma poitrine, il coupa la ceinture de ma jupe. Je me retrouvais en sous-vêtement devant ces trois ignobles individus. Mais ils voulaient me mettre complètement à poil, ma culotte et mon soutien-gorge furent aussi sectionnés et tombèrent à terre. Tous mes habits étaient ruinés, déchirés, et moi j'étais nue, avec seulement mes chaussettes qui furent rapidement retirées à la main. Et je ne fus bientôt même plus maîtresse de mes gestes, un des hommes passa derrière mon dos, il me saisit les poignets et des anneaux métalliques se referment sur moi. J'étais menottée. Ce n'était pas tout, un autre anneau fut fixé à mon cou. Un collier auquel était fixée une chaîne en métal. Profitant de ma dernière liberté, j'ouvris la bouche pour m'indigner : « Qu'est-ce que vous faites?! Vous ne pouvez pas faire ça, j'ai des droits! »
    
    Ils ne répondirent pas, et ce fut les dernières paroles que je prononçais avant qu'ils ne me fourrent un gag-boule dans la bouche. J'étais paniquée, ignorant totalement ce qu'ils comptaient faire de moi. Ils tirèrent sur la chaîne pour me faire avancer, comme si c'était une laisse et que j'étais une chienne. J'essayais de résister, bien que tous mes efforts soient vains. Ma force était dérisoire face à ces types, mais je ne comptais pas abandonner le combat sans lutter. Je freinais ...
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