1. Colocation ambiguë - chapitre 5


    Datte: 07/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Novella, Source: Hds

    ... quand Théo se retira aussi. Tout à coup, j’étais vide. Désespérément vide. Je devais faire peine à voir : la tête enfoncée dans le matelas, le cul en l’air qui se tortillait dans l’espoir d’être à nouveau rempli, une main qui caressait vigoureusement mon clito… Mais non, ils me laissèrent là, sans rien pour me soulager. J’étais au bord de la jouissance extrême et ils avaient tout arrêté. Pourquoi me faire un coup pareil ?
    
    — Revenez, salauds ! leur criai-je. C’est pas fini !
    
    Je les entendis pouffer de rire. Il restèrent éloignés de moi encore quelques minutes. J’étais sur le point de prendre mon womanizer et le dildo rose pour me finir seule, puisqu’ils m’avaient abandonnée, quand je sentis à nouveau leurs mains chaudes sur mon corps.
    
    — On voulait profiter encore un peu de toi, me souffla Théo. Fallait qu’on se calme.
    
    — Vous auriez pu le dire. C’est hyper frustrant, râlai-je.
    
    — C’était le but, ma chérie, ricana Simon. Mais là, crois-moi, tu vas pas être déçue du voyage.
    
    Etonnée, je regardai Théo s’affaler sur le matelas, adossé au mur et tapoter sa cuisse pour me signifier qu’il m’attendait. Sans me faire prier, je le rejoignis et m’empalai sur son membre encore bien dur. J’aurais aimé combler mon petit trou, mais il força pour aller dans mon vagin. Il me serra dans ses bras avec la tendresse dont il faisait preuve au début, ses mains ...
    ... glissèrent sur mes fesses. Je sentis le matelas s’affaisser derrière moi. L’excitation grimpa d’un cran. Ils allaient le faire. J’allais les avoir tous les deux pour moi, en même temps.
    
    Théo écarta mes fesses pour dévoiler mon trou à Simon qui s’empressa d’appuyer sa bite à l’entrée et de pousser pour entrer. Un cri m’échappa. C’était bon. Bien meilleur que la double qu’il m’avait fait avec le gode. Cette fois, c’était deux vrais hommes qui me prenaient, m’étreignaient, m’embrassaient et donnaient des coups de reins pour me conduire au septième ciel.
    
    Ils n’allaient pas au même rythme, c’était encore mieux. Simon était plus rapide que Théo. Il me limait le cul avec poigne, tandis que Théo ondulait doucement dans ma chatte. Ce contraste saisissant eut raison de moi. Je me crispai sur eux, j’en tremblai. Heureusement qu’ils étaient là pour me tenir, prise en sandwich entre eux, parce que sinon je serais sûrement tombée à la renverse. Tout à coup, je sentis mes deux trous se remplir de sperme. Je soupirai. Eux aussi. On avait encore pris un pied d’enfer tous les trois.
    
    — Je pourrai plus jamais me passer de ça, haletai-je. Waw.
    
    — On s’en passera plus, m’affirma Théo.
    
    — Ouais, maintenant qu’on a réussi à t’avoir, on va pas te lâcher.
    
    Nos langues se rencontrèrent encore dans un baiser langoureux. Si on m’avait dit que le week-end prendrait cette tournure… 
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