1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (10)


    Datte: 06/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... jeunes.
    
    Mais comme je n’oublie pas que je suis avant tout là pour le concierge, je me relève et vient maintenant m’agenouiller devant monsieur Sissoko, avachi dans un canapé tout décati. Même si c’est la seconde fois que je la prends en main, je suis toujours aussi impressionnée par l’énormité de son sexe. J’ai beau l’enserrer dans ma paume, je ne peux pas refermer mes doigts autour. Je parviens tout de même à le branler et je sens battre son sang dans les veines brunâtres qui nervurent cet énorme boa qui continue à gonfler.
    
    Je m’incline plus bas, comme une prêtresse se prosternant devant son Idole, et mes lèvres embrassent ce gros gland violacé et circoncis. Ma langue joue avec et l’excite avant que je commence à le prendre en bouche, centimètre après centimètre. Je respire par le nez pour ne pas étouffer et, progressivement, je parviens à avaler la moitié de ce monstre de chair. Je ne peux pas en prendre plus, son gland est déjà au fond de ma gorge.
    
    Le vieux concierge est affalé dans son fauteuil et se laisse pomper ; je me doute que ce n’est pas tous les jours qu’il peut profiter ainsi d’une belle fellation. Ma chatte est toute trempée, mes tétons sont dressés, mon clito est gonflé ; je reconnais là l’appel de la queue ! J’écarte grand les jambes et je réussis à faire un geste de la main dans mon dos aux trois autres qui doivent certainement être encore en train de se branler. Quelques secondes plus tard, on m’enserre la taille, une queue se glisse au travers de ...
    ... la fente de mon string et je suis prise. Enfin !
    
    La tête bien calée contre la bedaine graisseuse du concierge, je tète sa queue et j’aspire son gland. De la salive s’écoule par les commissures de mes lèvres, coule le long de sa queue avant de s’étaler sur ses grosses couilles qui pendent entre ses jambes comme des noix desséchées. Si mes amies ou collègues me voyaient ainsi, dans cette posture aussi impudique que dégradante, elles penseraient que je suis sous l’effet d’une drogue. Mais il n’en est rien !
    
    Celui qui me baise vient de se vider dans ma chatte et une autre bite prend aussitôt possession des lieux. Un peu plus tard, après une nouvelle éruption de foutre au fond de moi c’est le troisième qui prend place derrière moi.
    
    Maintenant bien ouvert et bien lubrifié, mon sexe est le temple idéal où ils peuvent, le temps d’une saillie, imaginer retrouver une seconde jeunesse. Je ne sais nullement à quoi ils pensent en me besognant, peut-être aux jeunes et belles fatmas qu’ils ont dépucelées dans le bled il y a cinquante ou soixante ans. A moins qu’ils ne se contentent simplement de profiter de l’instant présent, de cette bourgeoise parisienne qui vient s’encanailler loin de chez elle, peut-être elle aussi dans la quête d’une éternelle jeunesse.
    
    On se vide de nouveau en moi, je sens le sperme qui s’échappe de mon cratère comme de la lave en fusion. Ils étaient venus pour voir, je n’étais pas venue pour eux. Ils pourront pourtant repartir heureux et héros. « Veni, ...
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