Comment je suis devenue la salope de la cité ... (10)
Datte: 06/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... chez lui pour être incapable de lui résister même si c’est un gros personnage plutôt repoussant. Mais j’ai trop envie d’être sa chienne et qu’il fasse de moi ce qu’il veut. Oui, je veux sa grosse bite bien plantée entre mes fesses au plus profond de moi.
Fin du travail, j’attends tranquillement que tous mes collègues quittent leur bureau et vident l’immeuble en faisant semblant d’avoir quelques dossiers urgents à boucler. Une fois seule, je vais dans les toilettes pour handicapés – qui sont suffisamment grandes pour me servir de vestiaire – afin de me préparer. Je force un peu sur le maquillage, j’enfile une lingerie plus provocante, je mets une jupe un peu plus courte et un haut plus moulant et je chausse des talons plus hauts. En quelques minutes, devant le miroir, la très respectable assistante sociale Jeanne de Trébout se métamorphose en Nadiya la salope du caïd de la cité du Maroc.
En m’assurant que plus personne ne traîne dans les couloirs et les étages, j’emprunte les escaliers – histoire d’éviter une rencontre gênante dans l’ascenseur - et descends au deuxième sous-sol pour y récupérer ma voiture de service. Demain matin en revenant, je prétexterai que j’ai dû me rendre d’urgence à un rendez-vous professionnel.
Sur la route qui me mène à Stains, j’ai droit à quelques regards appuyés de certains chauffeurs qui remarquent mon look aguicheur. Ils feraient mieux de regarder la route, c’est plus prudent !
Une fois garée sur le parking que je commence à bien ...
... connaître, je descends de ma voiture et me dirige vers la loge de monsieur Sissoko. Quelques jeunes glandeurs, vautrés sur les marches, me regardent avec envie et j’ai droit à quelques remarques de leur part
— Tiens, voilà la pute de Rachid !
— Elle est habillée pour ça !
— Il parait que ce soir elle est là pour Sissoko.
— Oui, il va lui casser le cul !
— Quelle salope ! Vivement que Rachid nous en fasse profiter !
Leurs propos outranciers ne me choquent pas. Bien au contraire ! J’en ressens une certaine fierté car cela confirme mon statut que j’assume pleinement. La majeure partie du temps, je suis une femme très sage, une épouse modèle et une collaboratrice exemplaire. On me donnerait « le bon Dieu sans confession », presque une femme à citer en exemple. Mais parfois, le démon me prend et j’ai besoin de libérer la femelle qui sommeille en moi. Pour une heure ou deux, j’ai envie d’être une femme-objet, objet culte ou objet cul ! Oui, de temps en temps, il faut que je me libère de cette vie trop bien réglée, trop bien normée, trop bien conforme à la morale et aux usages.
Me voici devant la loge et la porte s’ouvre avant que je sonne. Le concierge guettait donc mon arrivée ; nul doute qu’il doit être aussi impatient que moi ! Il me fait entrer et referme la porte à clé derrière moi. Aurait-il peur que je me sauve avant d’en avoir terminé avec moi ? Le pauvre homme est certainement loin d’imaginer que j’ai certainement autant envie que lui, sinon plus, de ...