Les aventures extraordinaires de Firmin. (4)
Datte: 06/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... la comtesse gémit sous les assauts de ses faux agresseurs, je lui demande :
— Tatiana, maintenant que vos souvenirs vous reviennent, savez-vous s’ils se sont sauvés une fois leur forfait accompli ?
Camel poursuit :
— J’imagine qu’ils se sont enfuis en vous abandonnant dans la cave.
Entre deux gémissements, Tatiana parvient à articuler :
— Non, je ne me souviens pas très bien comment cela s’est terminé. Je crois bien qu’ils ont appelé des copains.
Entrant dans le jeu dont il a parfaitement compris les tenants et les aboutissants, Franck s’écrie :
— Ohé les copains là-haut ! Descendez au sous-sol, on a besoin de vous.
Poursuivant dans son rôle de femme violentée, la comtesse hurle :
— Non, pas ça ! Vous avez eu ce que vous vouliez, laissez-moi maintenant.
Gaby lui rétorque :
— Allons ma belle, au point où vous en faites, deux ou trois autres queues ne peuvent pas vous faire de mal !
Trois autres agents, cette fois en tenue, viennent d’entrer dans la cellule et savourent des yeux le spectacle qui s’offre à eux. Franck pousse un rugissement en se vidant dans la chatte de Tatiana tandis que Gaby, ancien sous-officier de la coloniale, se met à chanter :
— C’était un wagon de pines, qui revenait d’Indochine. Y en avaient des longues des fines, qui pendaient par la portière. Tiens voilà la coloniale, tiens voilà les coloniaux !
Et répand son foutre dans cette croupe accueillante avant de réussir à entonner le second couplet de sa chanson ...
... paillarde.
A peine se sont-ils relevés que Tatiana est mise debout par deux solides gaillards. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, ils embrochent la comtesse, lui dévorent la bouche et la nuque, caressent ses seins et ses fesses et accordent leurs mouvements pour honorer la noble dame. Cette dernière a maintenant complètement oublié son rôle de victime face à d’ignobles brutes. Elle crie son plaisir :
— Oh oui, continuez messieurs, c’est si bon !
— Plus fort, plus profond, encore !
Et en oublie son chaste vocabulaire de vieille aristocrate russe :
— Oh oui, baisez-moi comme une salope !
— Je suis votre chienne, profitez en bien !
— Je ne suis qu’une pute, allez-y !
Pendant l’heure qui suit, les agents vont se succéder dans la petite cellule au sous-sol du commissariat. Tatiana se donne sans compter, offre sa bouche gourmande aux plus timides des agents et tend sa croupe aux autres. Les plus sages profitent longuement de sa chatte maintenant bien lubrifiée ; les plus pervers investissent son cul bien dilaté par les saillies précédentes.
Plus Madame la Comtesse se fait prendre et plus elle semble avide de queues. Les flots de foutre qui se déversent dans sa gorge et ses entrailles semblent la dynamiser. Certains agents reviennent à la charge et les plus endurants triplent même la mise pour le plus grand bonheur de la dame.
Mais comme dans tout combat, les hostilités cessent faute de combattants qui, épuisés par les assauts successifs et les ...