1. J'aide ma sœur à parfaire l'éducation sexuelle de son gendre (2)


    Datte: 05/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... profond de mon sexe.
    
    Nous restons immobiles, parcourus de spasmes qui agitent nos deux sexes imbriqués quand soudain j’entends ma sœur hurler.
    
    -Oh mon Dieu ! Quelle horreur ! Mais tu ne respectes rien Marina…et toi Kévin, tu n’as pas honte de tromper Estelle avec ma couguar de sœur ?
    
    Je reprends mes esprits, réalisant l’énormité de l’acte. Je suis honteuse de remord mais si heureuse du plaisir de ce que nous venons de faire, de cette sensation intense et brûlante qui m’a envahie.
    
    Malgré les hurlements de ma sœur Justine je n’ai pas la force de me dégager de son futur gendre que je sens toujours en moi ne sachant comment réagir en ce moment précis.
    
    C’est Kévin qui finit par se dégager lentement montrant à Justine une teub encore fière et hardie. J’attaque franco :
    
    -Dans notre jeunesse, ça ne te gênait pas de me piquer mes « Jules », et tu ne crachais pas dessus… Je suis en service commandé, enfin presque… C’est Estelle qui m’a confié que Kévin n’était pas assez « dessalé ». Donc je m’occupe de parfaire son éducation et ma fois, c’est un bon élève. Ça ne te plairais-pas, toi aussi, de tenir la bite de ton futur gendre dans la main? Ça ne te plairais pas de branler cette belle teub bien dure?
    
    -Mais tu n’as pas honte Marina ! Non contente de faire cocu ta nièce, tu ...
    ... voudrais que j’y participe ? Elle s’approche de nous et tente de nous séparer. Je lui saisis le poignet et la force à poser la main sur la bite de Kévin qui n’ose plus bouger un poil de cul. Justine essaie de retirer sa main mais je m’y oppose :
    
    -Sens comme elle est encore ferme et dure, regarde… Malgré la frousse que tu lui a fait, sa verge reprend déjà de la vigueur.
    
    Je la force à branler le nœud de Kévin et relâche tout doucement la pression de mes doigts. J’avais peur qu’elle retire aussitôt sa main, mais non… C’est-t-elle même rendu compte que j’ai lâché sa main ? Ses doigts se sont raffermis sur le pieu tendu et vivent leur vie propre. Justine réalise soudain ce qu’elle fait et, comme piquée par une guêpe, et a un mouvement de recul.
    
    -Mon Dieu ! Que suis-en train de faire ?
    
    -On dirait que ça ne te déplait-pas, je la taquine, une vraie sainte-nitouche…ça fait bien trente secondes que tu n’y étais plus obligée.
    
    — Mais tu te rends compte de ce que tu me fais faire? proteste-t-elle faiblement.
    
    — Allez ! Ne te fais pas prier, je vois que tu en meures d’envie sinon tu serais déjà partie en courant.
    
    Je ne croyais pas que ma sœurette allait le faire mais sans broncher, je la vois tendre le bras et poser sa main droite sur la bite toujours au garde-à-vous.
    
    A suivre… 
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