Une infirmière bien baisée (1) - Histoires de Sexe

Une infirmière bien baisée (1)

... chaude ? Ce serait presque pécher que de refuser de goûter à mes avances…

C’est alors que la porte s’est ouverte brusquement. Un autre médecin est entré, blouse sur le dos et stéthoscope autour du cou. C’était David, une sorte de double d’Abel, un homme dans la fleur de l’âge, traits un peu marqués par la fatigue et avec un air sérieux qui le rendait incroyablement attirant et me donnait envie de le pervertir…

Il nous a regardés dans notre position équivoque, l’air interdit. Nous sommes restés un instant interdits, puis j’ai brisé la glace en lui souriant. Je me suis avancée vers lui : « On essaie de relâcher la pression après ces dernières semaines difficiles. Tu veux venir avec nous ? Je pourrais apprécier que deux médecins prennent soin de moi pour une fois… » David s’est approché en chuchotant : « Arrêtez, on va avoir des ennuis et vous ne devriez pas vous toucher comme ça… »

Je l’ai attrapé par le col de sa blouse pour le rapprocher de moi. « Allez, te fais pas prier. » J’ai posé mes lèvres sur les siennes et lui ai lancé un regard de braise.

Comme par magie, il a perdu toute sa contenance sérieuse et rabat-joie. Le contact de nos lèvres était comme une récompense, une libération extraordinaire d’endorphine après des jours et des jours de stress accumulé.

Pendant que je l’embrassais, Abel, derrière moi, s’était remis à caresser mes fesses, passant délicatement les doigts sur mon clito et remontant jusqu’à mes deux trous.

Il pressait délicatement chacun ...

... de ces points sensibles et me doigtait avec une, puis deux phalanges en écartant mon string. J’ai arqué mes fesses en arrière pour qu’il me fouille de plus belle, ses doigts étaient partout sur ma chatte et mon cul en feu. La bouche de David se posait sur mon visage, suçait mes lèvres, faisait presque l’amour avec ma langue tandis que mon entrecuisse était réveillée par les caresses de mon deuxième amant.

Abel a glissé à terre pour se mettre à genoux derrière moi et enfouir son visage dans mon cul. Il était avide de ma peau et me léchait la fente, passant du cunni à l’anulingus. Je fondais contre sa langue délicieusement intrusive et je gémissais dans les baisers de David. Moi l’infirmière, voilà que j’étais prise entre les deux feux de médecins qui m’auscultaient sous toutes les coutures et prenaient un grand plaisir à prendre soin de mon corps tout en jouissant au passage de mes courbes douces.

Mes fesses frémissaient, la peau nue entre le corset et la douceur des bas de dentelle sur mes cuisses était dévorée par la bouche d’Abel qui en léchait et en embrassait toute la surface avant de disparaître entre mes cuisses. Sa salive rendait ma mouille encore plus liquide et je sentais presque les gouttes glisser sur la paroi interne de mes cuisses. Le plaisir se répandait de la bouche de David jusqu’à ma chatte ardente, en passant par mon clito durci par l’excitation folle qui me parcourait.

Je me suis accroupie à mon tour, mes deux médecins préférés m’encadrant, debout, ...