1. Jalousie


    Datte: 05/04/2022, Catégories: fh, couple, inconnu, fépilée, vacances, plage, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral confession, Auteur: Vordh, Source: Revebebe

    ... pas réalisé à quel point son maillot était échancré, je ne connais pas les termes techniques, mais il n’y a pas beaucoup de matière. Elle se tourne vers moi et décolle le maillot de ses fesses, elle tire à droite à gauche pour le rajuster. Elle fait un tour devant moi et me dit :
    
    — Ça va comme ça ?
    — De quoi tu parles ?
    — Il est bien mis ?
    
    Question de merde pour pavaner devant moi et trémousser son joli petit cul.
    
    — Euh, oui, j’imagine. Si le but c’est qu’on ne voit pas tes fesses, c’est raté par contre.
    — T’y connais rien ! T’es vraiment un mec toi, hein.
    
    Je la regarde s’en aller vers la mer avec sa démarche féline et son minuscule bikini. Ce que j’aime chez une femme, Charlotte en est l’incarnation même : des jambes interminables, sa cambrure naturelle, ses fesses rebondies. C’est la définition de la féminité. Elle ne laisse pas insensibles les hommes auprès de qui elle marche, je distingue quelques regards, certains sont discrets comme ceux du père de famille et d’autres plus expressifs comme les groupes d’ados en rut qui se tapent du coude pour avertir les copains du passage de « la meuf trop bonne en jaune avec les gros seins ».
    
    Je me dis que j’ai de la chance. Je nous regarde, Antoine et moi et vois deux trentenaires consumés par la vie de bureau. Antoine est sec et maigre comme une tige, arrosé de grains de beauté. Il a des petites lunettes qui se teintent au soleil et des sandales en cuir. C’est un extra-terrestre au milieu de cette plage.
    
    Je ...
    ... regarde mon ventre, gras et poilu, je touche mon crâne qui commence à se dégarnir. C’est vrai, je me suis un peu négligé physiquement ces dernières années, tous les jours je me dis que je vais m’y mettre, et je ne m’y mets jamais. Sous une chemise ça ne se voit pas, sauf qu’à la plage, le statut social n’a plus d’importance. Seul l’esthétisme corporel est jugé ici, le portefeuille et la personnalité ne comptent pas, dommage pour moi.
    
    Antoine me parle, mais je n’écoute rien, je réponds par des « Oh ? », « Non ? », « Ah ouais quand même ! » trop occupé à mater ma femme qui barbote dans l’eau. Il est vraiment tout petit ce maillot.
    
    Je les vois discuter, elles discutent bouche à oreille en jetant des regards lointains, je me demande bien ce qu’elles doivent se dire et si elles parlent de nous ou si elles sont en train de mater d’autres mecs.
    
    Elles se décident enfin à revenir, mais le pas n’est pas pressé, elles continuent de discuter en marchant. Encore des regards, des têtes se tournent pour mieux admirer les formes de celle que j’ai épousée. C’est dingue de voir la quantité de pervers qu’il peut y avoir sur une plage, même les vieux s’y mettent.
    
    Au fur et à mesure qu’elles se rapprochent, je me rends compte que le corps mouillé de Charlotte est d’un érotisme à couper le souffle. Ses seins sont ronds comme des ballons et ses tétons sont au garde-à-vous, sa peau perlée à demi chair de poule donne envie de la croquer. Elle se plante devant moi et essore ses cheveux. Mes ...
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