Jalousie
Datte: 05/04/2022,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
fépilée,
vacances,
plage,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
confession,
Auteur: Vordh, Source: Revebebe
... des affaires et prise en main des lieux, on fait un premier plouf pour se rafraîchir et déjà les nanas veulent aller à la plage.
— Allez, les gars, on a tout le temps pour la piscine, nous, on voudrait voir la mer !
— Mais il est 10 h du matin, on peut se poser un peu, non ?
— On mangera dans un petit resto, ça va être chouette, allez, les garçons, on est en vacances, non ? Ajouta Charlotte.
Si je devais compter sur Antoine pour tenir tête aux filles, ce n’était pas gagné. Nous voici donc partis, serviettes sur l’épaule, à la plage la plus proche. Petit à petit le chemin s’urbanise, la population se densifie, le bruit aussi, et puis on arrive enfin à destination. La plage.
***********
Il est 11 h du matin.
Une nuée de monde en tout genre ; familles, ados et étudiants se dorent la pilule et jouent au ballon. Des jolies filles aux formes rebondies attirent mon regard, des maillots fluos échancrés monopolisent toute mon attention. Il y a de tout : des brunes, des noires, des blondes, des jeunes, des mamans, et j’en passe.
J’identifie même quelques-unes de mon espèce favorite : les solitaires. Celles à la plastique finement travaillée, à la peau de pêche et bronzage un peu trop appuyé, qui viennent bronzer seins nus sur le ventre en lisant un bouquin avec des écouteurs. Elles ont tiré un peu leur bas de maillot pour qu’il leur rentre dans les fesses afin d’être le plus bronzé possible. Elles travaillent leur bronzage comme si c’était un métier, leur corps est ...
... une sorte d’outil de travail, de CV. Elles sont probablement barmaids ou rabatteuses de discothèques pour touristes anglais. Je suis fasciné.
À mesure qu’on s’engouffre dans la foule, je ne cesse d’être captivé par la moindre trace apparente de sensualité. Je suis aux aguets et Charlotte l’a bien vu. Elle ne dit rien, mais je sais qu’elle a envie de me faire une réflexion. Ça l’énerve, mais elle ne peut rien dire à cause de ce qu’il s’est passé. C’est vrai, même si ce n’était pas grand-chose, elle l’a quand même embrassé son vendeur de vernis à deux balles. Me faire un reproche pour quelques regards serait complètement déplacé. Céline ne s’en cache pas.
— Tu veux peut-être que je t’aide, Antoine ? Tu veux que j’aille lui demander son numéro de téléphone ?
— Mais non, chaton je regarde juste ou je marche c’est tout.
— Y’a plutôt intérêt, oui !
Pauvre Antoine, forcé de regarder ses pieds. Il avance, derrière elle, la tête baissée. Céline voit les mêmes choses que moi, mais pas de la même manière.
On trouve enfin un emplacement qui nous convient et on plante le camp. C’est rapide : quatre serviettes, un panier posé par terre contenant un journal, deux bouquins, une bouteille d’eau et un paquet de clopes.
Nous on est déjà en tenue de circonstance, c’est facile quand on est un mec, c’est comme un short quoi. J’observe Céline se déshabiller alors qu’Antoine lui tient une serviette autour du corps. Elle l’engueule, car il ne la tient pas assez bien. Elle est blanche ...