1. Mon fils amoureux de moi . (2)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: valeriane, Source: Xstory

    ... me fouillent sauvagement, je râle à chaque pilonnage.
    
    — Prends-moi, prends-moi vite, je vais jouir !
    
    Il remplace ses doigts par sa queue, c’est sans difficulté qu’il s’enfonce dans mon fondement jusqu’à la garde.
    
    Ses couilles frappent mes fesses à chaque coup de reins, les coups sont si violents que j’ai l’impression qu’il veut y faire entrer ses couilles aussi.
    
    Le pilonnage est sévère, les coups de reins puissants ont vite raison de moi.
    
    Je me cabre et me mords le poignet tellement ma jouissance est terrible, je gicle comme une fontaine, Marc se bloque et me remplit l’intestin de sa semence épaisse.
    
    Il me laboure encore un moment avant de retirer sa queue gluante de mon cul et de l’enfoncer dans ma chatte détrempée.
    
    Il s’accroche à mes hanches et me démonte sauvagement, je pousse des couinements affreux.
    
    Sa bite vigoureuse me laboure comme un soc, je triture l’oreiller, je plaque ma tête dedans pour étouffer mon cri de chienne en rut.
    
    Le gourdin entre et ressort à vive allure, il accélère au rythme de mes gémissements.
    
    Marc se raidit et déverse son sperme brûlant dans les entrailles, il ressort entièrement de mon antre et replonge à fond, je hurle:
    
    — Oui oui, encore mon chéri !
    
    Marc, à ma demande s’acharne sur moi, il retire sa bite de ma chatte et la replonge dans mon cul violemment, ...
    ... il réitère souvent ce mouvement que j’adore.
    
    Je finis par exploser bruyamment, ma cyprine gicle presque en continu, je halète et souffle fortement.
    
    — Maman, tu es un vrai volcan, oui, gicle encore, vide-toi !
    
    — OOOH mon chéri, c’est trop bon, démonte-moi encore, je veux mourir de plaisir !
    
    Il délaisse mes orifices, sa queue est gluante, il l’offre à mes lèvres, je la gobe comme une affamée, je tète et suce sa bite comme un sucre d’orge, je la dévore littéralement.
    
    Elle ne débande pas, au contraire, elle enfle encore, je mordille le gland et aspire tout ce qui sort du méat.
    
    — Oh maman, comme tu suces bien, je vais jouir, attention !
    
    J’accélère, je veux qu’il me remplisse la gorge de son nectar.
    
    Il se raidit, tire sur mes cheveux et envoie plusieurs giclées au fond de ma gorge, je m’évertue à avaler jusqu’à la dernière goutte toute la quantité envoyée.
    
    Je le suce encore en lui triturant les couilles, il se cabre à nouveau et envoie d’autres giclées que je déguste avidement.
    
    — Maman, tu es trop bonne, je t’aime !
    
    — Mets-toi sur le dos que je bouffe ta chatte, elle est juteuse comme un fruit trop mûr !
    
    Il écarte les grandes lèvres de ma chatte, et aspire mon clito qui est devenu énorme, il le suce longuement comme un bonbon, je jouis encore et encore.
    
    Enfin il me délaisse, je suis épuisée. 
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