1. Cela se détériore


    Datte: 04/04/2022, Catégories: fh, hagé, extracon, extraoffre, cocus, grossexe, vacances, dispute, odeurs, Oral extraconj, Auteur: Dalibor, Source: Revebebe

    Depuis que je suis allé à Chicago, je n’arrête pas de me passer en boucle l’image de ma belle nièce. Je réalise que mon veuvage ne m’a pas coupé les idées et alors que je pensais être calmé de ce côté, cela revient en force.
    
    Hier, alors que j’avais dit que j’allais un moment dans mon bureau contrôler quelque chose, quand je suis revenu, elle dormait en plein soleil, complètement nue. Je sais en Europe, le nudisme dans certaines régions est passé dans les mœurs, mais pas ici, dans le biblebelt. Avec toutes les grenouilles et crapauds de bénitier, cela ne passerait pas.
    
    Son cul, qui probablement n’avait pas trop l’habitude d’être au soleil, prend une couleur un peu trop vive. Je me place pour que Phébus ne lui grille pas trop le popotin, ce qui ne m’empêche pas d’admirer le reste, la descente de reins, sa peau satinée. D’un coup elle se réveille, peut-être dû au manque de soleil et sans s’en rendre compte, se tourne et me présente son intégrale beauté.
    
    Des jolis petits seins presque de jeune fille, bien en place, un ventre sans vergeture, un buisson pour faire semblant de cacher ses trésors, mais on voit clairement deux lèvres que je dirais gonflées.
    
    Du coup, c’est un coup de clairon, un réveil en fanfare, mon slip devient indigent et incapable de contenir ce qu’il devrait et cela guigne par en dessus. La coquine a le regard scotché sur mon appendice qui prend l’air quand mon neveu rentre de sa promenade.
    
    « Ouf ! Je crois que je l’ai échappé belle, à voir son ...
    ... regard de dévoreuse, il s’en est fallu d’un poil qu’elle goûte à ma saucisse de Strasbourg. »
    
    Elle a l’air un peu mal à l’aise comme si elle s’était fait prendre la main dans le caleçon. Après lui avoir demandé de s’occuper de son coup de soleil, je les laisse, je pense qu’ils sont de toute façon encore fatigués du voyage.
    
    Le lendemain, longtemps avant qu’ils ne se lèvent, je demande à mon homme de main de faire une partie de chasse et de ne pas trop se presser pour rentrer, j’aimerais traiter quelque chose avec ma nièce par alliance.
    
    Il me répond avec un sourire de connivence :
    
    — De combien de temps avez-vous besoin ?
    — Je ne sais pas, environ deux heures, peut-être trois. Cela dépend en fait d’elle.
    — Bien je ferai comme Monsieur désire.
    
    Je sais qu’il m’en veut encore un peu d’avoir dessalé sa femme à la mort de la mienne, mais c’est de l’histoire ancienne.
    
    Une fois les deux partis avec force de fusils de chasse, je demande à notre cuisinière de nous servir du café dans une cafetière et puis de s’occuper de sa cuisine.
    
    Nous dégustons notre café et moi je me demande comment amener le sujet, je vois ses yeux de gourmande qui me fixent avec désir, mais j’ai de la peine à me lancer, c’est une pente savonneuse. J’ai une idée, on pourrait commencer par l’album de famille cela nous permettrait de nous rapprocher.
    
    On s’installe sur le canapé et je lui montre le début du ranch quand j’étais encore célibataire et toute mon équipe, en suite notre mariage avec ...
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