John & Jane (7)
Datte: 04/04/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... deux tétons sombres, le sexe forme un bel arrondi en reposant sur les bourses couvertes de poils soyeux. Hormis nos sexes, le mien étant un peu plus petit, nous sommes les opposés de poil et de peau clairs ou sombres, au ventre glabre ou velu, ou les complémentaires de corps frêle ou musclé, efféminé ou viril.
Nu, il s’allonge au milieu du lit jambes légèrement écartées et me sourit, une main sous la tête l’autre agitant un pieu bien raide. Je m’installe entre ses cuisses en chien de fusil contre son ventre. J’ai envie de lui, ma main remplace la sienne et au lieu d’agiter le manche je l’astique doucement en tirant le prépuce un maximum avant de lui rappeler mes talents de pompier. Rapidement son bassin accentue mes va-et-vient. Incapable de le prendre totalement en bouche je le lèche sur toute la longueur du tronc jusqu’aux soies de ses testicules, j’enfonce mon nez dans sa broussaille noire, j’aime son odeur boisée, j’aime la douceur de son poil frisé :
— Hum ! Salope arrête, tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte, lâche moi la grappe, et allonge-toi sur le dos.
La tête au pied du lit, je m’offre à lui. Il y va direct, me plie en deux, les genoux sur ma poitrine et me fait une feuille de rose comme un chien qui se lustre le poil. Sa langue couvre une large surface de ma raie et me lèche à grands coups comme une sucette avant de se fixer sur le petit trou. Elle est pointue et raide, comme un doigt par petits coups elle me pénètre. Avec la même énergie il me ...
... branle comme s’il voulait me faire cracher rapidement la sauce, mais non, il maîtrise et s’arrête :
— Allez, sale chienne en position, tout en accompagnant son ordre d’une claque sur les fesses.
Je fais volte-face, à quatre pattes, tourné vers le miroir, je découvre probablement la vraie raison de ce miroir pour soit-disant les exercices d’un petit rat de l’opéra. Je vois et je sens tout. Il est viril, j’aime son torse velu aux tétons turgescents, son sourire, il connaît ma voie l’a parcourue à deux reprises. Il ne s’embarrasse pas, il pointe, il me tire à lui et pousse simultanément, il est en moi, encore un coup de reins je l’avale entièrement :
— Ah putain ! Un cul de geisha, un fourreau de soie.
Et là je subis, ses mains se crispent sur mes hanches, il me baise, il m’utilise comme un manchon, je le vois concentré, le regard vissé sur l’action, ses doigts dans mes chairs, c’est une furie, enfin il se calme, relève la tête et nous voit dans le miroir :
— Hum ! T’es vraiment une pute, avec une chambre de pute, il y a même le miroir pour exciter le client.
— Nooooon ! C’est la proprio qui l’avait installé pour un petit rat de l’opéra.
— Ouais, et pour voir les gros rats qui te courent dans le ventre...
Il me prend par les épaules, me relève contre sa poitrine,
— Regarde comme t’es belle, regarde comme j’te baise !
Je creuse les reins pour mieux le sentir, mes mains partent en arrière, mes doigts se plantent dans ses fesses musclées. Lui m’entoure la ...