1. Hélène : la table


    Datte: 03/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Rouge, Source: Hds

    ... suis ouverte.
    
    - Ne bouge pas, je vais te mettre une nouvelle plaque.
    
    Un petit déclic, et ma nymphe gauche est libérée, comme allégée. Un deuxième clic, et je sens un étirement de ma chair.
    
    - Ouf, ça tire, fais-je en soupirant.
    
    - Oui, elle est deux fois plus lourde que l’autre. D’ailleurs, il faudra régulièrement changer de lèvre pour qu’elles soient étirées de la même longueur.
    
    - Pierre, tu m’as ouverte devant, s’il te plait, ferme me moi derrière.
    
    - Tourne-toi et cambre-toi un peu.
    
    Je pivote, et j’écarte mes fesses à deux mains. Il laisse couler un filet de salive dans ma raie culière. Quand elle atteint mon cratère, il pousse dedans son index, puis il me pistonne lentement. J’apprécie ce doigtage, mais en moi-même, je regrette qu’il ne se livre pas à une lubrification linguale.
    
    Il doit lire dans mes pensées, car je sens une caresse râpeuse sur mon œillet, puis sa langue me pénètre, me fouille.
    
    J’adore cette feuille de rose, et je lui montre en roucoulant, Il m’encule si divinement.
    
    Je commence à partir, et il m’achève par une pression du pouce sur mon bijou de clito. Je disjoncte.
    
    Mes jambes me lâchent, Il accompagne mon agenouillement en douceur sur le fauteuil.
    
    Et sans attendre, il pousse mon rosebud dans mon anus. Ma dilatation anale provoque un deuxième orgasme.
    
    Après avoir récupéré, je me dirige vers la porte. Il m’accompagne et au moment de passer le seuil, il me retient par le poignet. Je tourne sur moi-même et dans le ...
    ... mouvement, je prends ses lèvres et je lui roule un patin d’enfer en saisissant sa nuque rasée. Il me plaque contre lui, sa main droite sur ma taille. En même temps qu’il m’embrasse, il écrase les trois pointes contre ma chair. Il glisse sa gauche sous les plis de ma robe.
    
    Tout le voisinage peut me voir me faire peloter le cul. Je m’en fous. Je suis une femme aimée, voir adorée, et j’aime le montrer. Mes voisins n’ont qu’à fermer les yeux
    
    J’abandonne les bras de mon chéri à regret, et je me dirige vers ma voiture. Un coup de vent découvre mes fesses. Je le laisse sur cette vision.
    
    Le court trajet est un mélange infernal de souffrance et de volupté. Chaque changement de vitesse, accompagné d’un appui sur la pédale d’embrayage tire sur ma lévre gauche. Je suis trempée quand j’arrive chez mes amies.
    
    Retour au présent.
    
    Je m’offre aux quatre mains de mes amies. Je tremble légèrement. Comme toujours avant d’être suppliciée ou fouettée, je sens monter mon excitation. Je suis sûre que mon sexe rosit et mouille. Vivement qu’elles commencent.
    
    - Tiens bien son nichon gauche, ordonne Mel.
    
    Les mains d’Anne So entourent mon sein. Je frissonne, mais pas de froid. Les doigts se posent sur le cabochon et le visse lentement. Je sens la pointe s’introduire dans ma chair. Je retiens mon souffle. Mais la douleur est trop forte. Je gémis. Ma bourrelle s’arrête.
    
    Elle passe à l’autre mamelle. Je soupire.
    
    Je sens leurs souffles sur mon ventre. Je m’ouvre encore plus, bombant mon ...
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