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Voluptés sylvestres (2)
Datte: 02/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Voluptatem, Source: Xstory
— Arrête ça Camille ! s’enquit Charlie d’une voix grave. Tu vois bien qu’il n’en a pas envie. Et tu ne m’as pas demandé si j’étais d’accord pour que tu fasses quoi que ce soit avec lui. On est ensemble, je te rappelle, ouverts certes, mais ensemble. — Je ne suis pas aussi sûre que toi mon amour. Je sens ses mains se soulever sous la mienne. Il en a envie !N’est-ce pas ? — Non, enfin... Vivian le savait au fond de lui : s’il n’avait toujours pas repoussé Camille, c’est qu’il aimait beaucoup la tournure que prenait sa balade en forêt. Camille posa un doigt sur ses lèvres pour le faire taire. Elle ne voulait pas de réponse, elle le savait. Elle savait qu’il changerait d’avis sous peu. Puis elle caressa les mains de ce bel homme. Sans cesser, elle tourna la tête vers Charlie et lui dit : — Et ne me dis pas que tu n’es pas d’accord pour que je caresse... Comment tu t’appelles ? demanda-t-elle en plongeant ses yeux dans les pupilles de cet inconnu. — Vivian. — Pour que je caresse Vivian, je vois bien que tu te touches à travers ton pantalon depuis tout à l’heure. — Hum... C’est vrai qu’il est pas mal... reprit Charlie en rougissant. Camille, ayant eu l’accord implicite de Charlie, fixait à nouveau Vivian du regard. Lui ne savait que faire. Il était parfaitement immobile, mais n’espérait plus une seule seconde qu’elle le laisserait partir. Son sexe recommençait à durcir et il sentait le regard de Charlie parcourir l’étendue de son corps et s’attardait ...
... longuement sur les mouvements de la main de Camille. Soudain, Camille embrassa langoureusement Vivian et glissa sa main sous celles de Vivian qui ne pouvaient guère plus cacher son attribut ainsi déployé. Elle commença une lente masturbation alors qu’il posait ses mains sur les hanches avantageuses de cette jeune femme. Puis Camille passa de ses lèvres à son cou et le couvrit de baisers. Vivian regardait désormais Charlie qui avait déboutonné son jean et qui caressait maintenant son caleçon. Vivian savait qu’il ne repartirait pas de sitôt ! Quelle euphorie pour lui que d’avoir une femme le caressant et un homme se languissant de son corps ! Soudainement moins enclin à la réserve, il s’adressa à Charlie d’un signe de tête : — Comment tu t’appelles ? — Charlie. — Eh bien Charlie... Tu ne trouves pas qu’il fait un peu chaud ? Le message était clair et il n’en fallut pas plus à Charlie pour se dévêtir. Non seulement il fit tomber son caleçon qui comprimait son sexe, mais en plus il retira son t-shirt, laissant tout le loisir à Vivian d’admirer son torse. Charlie n’était pas aussi dessiné que lui, certes, mais son corps était exactement ce qu’adorait Vivian : fin sans être maigre et athlétique. Sa peau était d’une candeur très pure, uniforme et sans imperfections. Quant à sa pilosité, elle était éparse et séduisante. Et ses yeux vert émeraude plongeaient Vivian dans une autre dimension. Comme si toute la verdure de la forêt s’y noyait en une composition presque ...