Un massage qui dérape - Histoires de Sexe

Un massage qui dérape

... rapidement, crache sur mon sexe, me branle à une main, le suce goulument, elle me rend complètement dingue.

- J'ai encore envie que tu me bouffes le cul comme une grosse cochonne.

- Hum t'aimes ça petit coquin.

- Oui, j'adore ça.

Je me replace sur le transat, le cul en l'air et Virginie s'active aussitôt. Elle écarte mes fesses, crache sur mon petit trou et elle y glisse sa langue. Elle est vorace, elle me lèche avec entrain plusieurs fois de l'anus jusqu'aux boules qu'elle gobe et suce par moments. Elle est incroyable de dévotion, je kiffe trop le traitement qu'elle m'octroie juste pour mon plaisir. Je bande comme rarement alors que sa langue fait de multiples aller-retour dans mon trou du cul. Elle me fait perdre la tête complètement.

- Vas-y continue salope, branle ma bite en même temps.

Elle m'obéit, elle me masturbe tout en dévorant mon cul et mes couilles pendant plusieurs minutes. Puis elle s'arrête d'un coup, elle me sourit et me dit avec un air vicieux:

- Je n'en peux plus, j'ai trop envie, alors maintenant que je t'ai fait plaisir, j'ai veux que tu me baises bien fort.

Ni une, ni deux, on se retrouve en position de levrette et nous nous emboîtons comme les pièces d'un puzzle. Je sens que la partie va bientôt s'achever, je ne perds ...

... pas de temps, je la défonce sauvagement, je la maltraite en lui tirant les cheveux, en lui claquant les fesses, je sais que c'est comme ça qu'elle aime que je la prenne. Virginie se lâche totalement, elle peut y aller, nous n'avons pas de voisin. Elle hurle de plaisir sous mes assauts incessants en malaxant ses gros nichons.

- Oh oui, encore, t'arrête pas, je vais jouir.

J'accélère encore la cadence et ma princesse du sexe est atteinte par un nouvel orgasme qui la transporte ailleurs. Elle s'écroule, vaincue et épuisée, mais il lui reste encore un peu de force pour me faire jouir. Elle m'indique de m'allonger sur le dos et vient se faufiler à quatre pattes entre mes cuisses pour me sucer encore. Cela ne dure que quelques instants, je sens la sève monter et je gicle dans sa bouche en beuglant bruyamment, alors que Virginie se délecte en avalant tout jusqu'à la dernière goutte.

Elle vient ensuite se lover contre moi, je sens ses tétons encore durs contre mon torse. On s'embrasse et on se câline, puis elle me dit:

- C'était très sympa ce massage, il faudrait qu'on prenne plus souvent le temps de se détendre après le travail.

- Je suis entièrement d'accord.

Elle m'embrasse à nouveau.

- Je t'aime comme une folle.

- Je t'aime très fort aussi.

FIN