Valérie,parisienne et libertine (2)
Datte: 01/04/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... poussant pour enfin l’abattre sur ses globes. Elle sursauta aux premiers coups sans rien dire. Mes coups étaient fermes mais sans violence et je décidais que dix coups sur chaque sein seraient suffisants pour une première fois.
Lorsque je m’agenouillais à ses côtés en caressant ses seins légèrement zébrés de rouge je lui dis :
« C’est très bien pour une première fois
-Je veux plus Valérie
-Pas aujourd’hui, pas encore, d’autres épreuves t’attendent.
-Je sais Valérie, je suis prête
Tant de bonne volonté méritait d’être récompensée. Je retirai avec douceur les pinces et léchai ses tétons endoloris. Je la fis s’allonger, posai ma chatte sur sa bouche pour la frotter ; je sentis ses lèvres s’ouvrir et se fermer sous mes va-et-vient et à mon tour je plaquais ma bouche sur son intimité. Je relevai ses cuisses pour la lécher, sa cyprine m’enivrait. Au bord de jouir je cessai mes caresses, relevai le buste et posai mes fesses sur sa bouche dans une demande sans équivoque. D’elle-même elle m’ouvrit pour prodiguer cette caresse intime si nouvelle pour elle. Je saisis le plug qui la pénétrait pour le faire aller et venir. Justine encore vierge il y avait peu lançait son bassin au-devant de mon geste, son petit trou maintenant dilaté absorbait le plug ; elle commença à gémir, je collais ma chatte sur sa bouche et, sans cesser de branler son cul, je la léchai moi aussi sans retenue. Notre premier orgasme fut bruyant, puissant et synchrone ! Je m’abatis sur elle.
Nous ...
... restâmes ainsi un long moment.
Je brisai ce moment, m’assis sur son ventre et posai une première paire de pinces sur les lèvres de son sexe puis une deuxième ; Chaque paire reliée par une chainette, je les saisis et débutais son apprentissage des étirements. Doucement au début, j’accentuais au fur et à mesure la force de mes gestes, tirant les pinces vers le haut, vers le bas, les écartant. Justine, sans crier, gardais ses cuisses écartées comme pour m’aider. Je l’aimais ainsi, offerte à mes envies, se laissant aller à subir cette épreuve que je savais douloureuse pour l’avoir vécue.
« C’est le début de mon travail de ta chatte et je vois que tu aimes ça petite chienne. C’est un bon début !
-Ma chatte t’appartient, tu peux en faire ce que tu veux
-Alors lève toi
Debout, elle se tenait devant moi. J’accrochai alors des poids sur chacune de chaînettes, les fis se balancer ; Justine se mordait les lèvres. Je fis durer ce manège que je corsais en rajoutant des poids et, laisse en main je la promenai dans le salon ; les poids venaient frapper ses cuisses freinant leur ballotement naturel. Je l’obligeai alors à marcher cuisses écartées. Libres de se balancer, j’observais sa démarche obscène et maladroite. Après de longues minutes je mis fin à l’épreuve, retirai pinces et poids et lui massai ses lèvres meurtries. Le constat que son excitation ne l’avait pas quittée me rassura et me donna cette satisfaction du plaisir partagé.
« Remets-toi à quatre pattes et lève ...