En vacances avec ma cousine
Datte: 01/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Orangina07, Source: Hds
... rappelle le matin où j'avais ouvert la porte de sa chambre et que je l'avais vu dans la même position. Cela devient encore plus torride quand elle quitte entièrement le peignoir et s'assoit en posant les pieds écartés sur la table. Sur l'écran la femme montre ses seins en pinçant les tétons, en les léchant. De son côté Sophie a ses deux mains entre les cuisses. J'en vois une qui tient la poignée de l'autre pour la faire entrer dans sa chatte. Le mouvement est plus rapide et plus fort. Elle lâche sa main pour tirer et pincer un téton. Derrière l'écran l'autre joue avec un gode en mimant une branlette espagnole. Je ne peux m'empêcher de participer à cette relation virtuelle, je me branle avec elles. J'entends Sophie qui commence à gémir, elle pose rapidement une main sur sa bouche pour étouffer un cri, elle se pli en deux sous l'arrivée soudaine de la jouissance. Sur l'écran sa compagne virtuelle a la langue collée à l'écran comme si elle veut lécher. L'écran s'éteint, un bruit de chaise et de vêtement froissé. Je vais me coucher.
J'attends Sophie dans la voiture. Le ciel est encore nuageux.
- " As-tu dormis cette nuit ? " me demande-t-elle en attachant sa ceinture.
- " Oh...pas beaucoup. J'ai eu chaud, l'orage m'a empêché de dormir alors je suis descendu au salon pour regarder les éclairs et la pluie tomber " répondis-je sans détourner les yeux de la route.
- " Ah...tu...tu veux dire que...tu étais....dans le salon cette nuit ?, toute la nuit ? " dit-elle avec un ...
... peu de tremblement dans la voix.
- " Non pas toute la nuit, mais une bonne partie " rétorquais-je.
- " Ah....c'est bien " dit-elle après plusieurs minutes de silence.
J'ai allumé la radio. Elle, d'un naturel si bavarde, ne décrocha pas un mot pendant tout le trajet, ou juste pour m'indiquer la direction à prendre. Une fois arrivé à destination, elle se regarde dans le miroir du par soleil, se recoiffe un peu, ajuste les boutons de son chemisier et sort de la voiture. Avant de partir elle se penche à la fenêtre et dit en pointant un doigt sur mon torse : " Il faut qu'on parle ! ". Elle se dirige vers la porte d'entrée d'un pas rapide et assuré.
Une heure dix minutes plus tard, je vois Sophie sortir. Elle me jette sa sacoche sur les genoux et s'assoit lourdement sur le siège.
- " Ces chaussures me font mal aux pieds " dit-elle en les balançant à l'arrière de la voiture. Elle se masse les orteils, les tendons d'achiles où je vois une petite marque rouge de frottement.
Sur le chemin du retour on s'arrête pour manger un morceau puis on repart. Elle s'est endormie, le dossier de son siège baissé, les pieds ramenés contre ses fesses. Je la regarde, ce que je n'aurais pas dû faire parce que je prends un virage un peu trop rapidement, les roues glissent sur la chaussée humide, mordent un peu sur le bord de la chaussée. Je donne alors un coup de frein un peu violent ce qui la réveille.
- " Quoi ! c'est quoi ! ' hurle-t-elle en se réveillant et se cramponnant à la ...