25 années dans la peau d'une salope (2)
Datte: 01/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Meow13, Source: Xstory
Je jouis maintenant dans ma main, je coule sur mes fesses et sur les draps. Je souris. Ce que c’est bon de commencer sa journée ainsi ! Je sens l’homme à côté de moi bouger, il est terriblement dur contre ma cuisse. Je tourne la tête vers lui et vois ses yeux s’ouvrir. C’est un ami de la famille, un célibataire d’une trentaine d’années. Je parcours son corps des yeux. Une barbe de trois jours, ça c’est sexy, des yeux noisette qui me fixent, de grandes mains. J’adore les grandes mains. Un torse large et poilu, des cuisses puissantes. Il est terriblement brun. Il me semble qu’il est rugbyman. Je me rappelle que ses parents et lui passaient souvent quelques jours d’été avec nous quand nous étions enfants. A l’époque, il m’impressionnait avec ces quelques années de plus, mais ne faisait guère attention à moi. Regarde qui est là, la queue dressée pour moi maintenant. Il parle, mais je ne l’écoute pas. Je veux qu’il se taise et qu’il s’occupe de moi.
Je pose une main sur sa bouche pour qu’il la ferme et je me tourne vers lui. Ma main descend sur son torse, il sourit, il a compris que j’en voulais encore. Je suis nue et il ne porte qu’un boxer déformé par son érection. Elle a l’air d’une taille tout à fait respectable.
Ses gros doigts s’appuient sur mes tétons percés sans ménagement, je glousse de plaisir. Un peu de brutalité au réveil. C’est tout ce que mon corps réclame. Il tord mes seins dans ses énormes paluches et je me colle contre lui. Il m’insulte et je lui suce la ...
... langue. Ma main trouve son chemin sous l’élastique de son sous-vêtement et mes doigts s’enroulent autour de son manche épais. Une des raisons de mon addiction, c’est le toucher. C’est doux, presque velouté, et si agréable à caresser. Je l’empoigne plus franchement et commence à le branler. Il ferme les yeux et souffle comme un bœuf. Ma petite chatte adore les hommes aussi virils et s’inonde d’excitation. Il me caresse le ventre et me mord le cou. J’espère qu’il me laissera des traces. Cela me donne toujours l’impression de crier au monde entier que j’aime le sexe. Il me lèche les tétons et tire sur mes piercings avec les dents. Mon souffle est court, le sien est rauque. Notre odeur et nos respirations remplissent bien vite la pièce.
Mon partenaire me dévore donc la poitrine, mes globes de chair vibrent sous ce délicieux assaut. Je lui retire son boxer pour libérer la bête. La voilà, fièrement dressée, sa longueur est somme toute banale, mais sa largeur me met l’eau à la bouche. Je descends sous les draps et pose ma bouche sur ce joli dard en regardant l’homme dans les yeux. Quel sublime petit-déjeuner ! J’avale goulûment, bavant et suçant avec vigueur, en poussant des soupirs de contentement. Il n’y a rien qui me comble plus que de l’attendre gémir et le voir serrer sa mâchoire carrée. D’aucuns diraient que je me soumets, que je suis à sa merci. La vérité, c’est que lorsque j’ai un sexe dans la bouche, j’en fais ce que bon me semble, je contrôle cet homme en lui procurant ...