1. Donna la roumaine (1)


    Datte: 01/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Bouddha69, Source: Xstory

    ... servir un vieux rhum. Les chiens reniflent la femme sur le canapé. Je les interroge.
    
    — Croyez-vous qu’elle va bien la jolie poulette ?
    
    Ils s’agitent, contents. Je leur fais confiance.
    
    Je fouille dans son sac à la recherche de son passeport. Elle est roumaine et s’appelle Donna. J’attrape une bouteille de Rhum, Pouchkine « Mozart et Salieri » et j’écoute la flûte enchantée du premier et m’installe dos à la belle endormie dans un fauteuil face au feu de la cheminée. Les chiens se couchent aux pieds de Donna. Lorsqu’elle gémit, mes bergers se lèvent, lui envoient parfois de grandes lèches sur le visage et se recouchent.
    
    23 heures, je ferme mon livre, je défais le bouton du haut de son jeans, pour libérer sa respiration ventrale et lui retire son petit blouson de cuir et la recouvre d’une couverture. J’observe cette jolie blonde véritablement pour la première fois. Elle est plutôt grande, les yeux verts, a des seins arrogants que je soupçonne refaits, de longues jambes et un blond parfait comme son maquillage. Je remarque qu’elle a des faux cils et des faux ongles blancs nacrés. C’est une véritable bombe en langage de mec. Je lui caresse doucement le visage du bout des doigts et je vais me coucher.
    
    — Vous veillez sur elle. Compris Vlad et Maria. Les chiens restent au pied du canapé devant le feu.
    
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    Même si je ne me suis pas réellement réveillé, dans le courant de la nuit, j’ai senti qu’elle est entrée dans mon lit et s’est collée ...
    ... contre moi cherchant de la chaleur.
    
    Je me suis réveillé vers sept heures, elle dort, je ne vois que quelques mèches blondes sortir de sous les couvertures.
    
    Il y a grand soleil, il a neigé cette nuit, je prends mon café, mes clopes et un godet de vieux rhum brun, je vais sur la terrasse, bien couverte.
    
    Après 30 minutes, je la vois apparaître derrière les baies vitrées. Je retourne dans la maison.
    
    — Bonjour. Comment allez-vous ?
    
    — Bonjour, ça va.
    
    — Café, Thé ?
    
    — Thé.
    
    — Avec du pain, du miel et de la confiture de framboises ?
    
    — Parfait. Merci.
    
    Je l’observe, elle a rechaussé ses escarpins de 12 centimètres, a enfilé une nuisette transparente de dentelle noire, plutôt très courte, un string coordonné et un petit caraco noir lui aussi, qui cache ses seins, mais pas son décolleté.
    
    — Il fait vraiment très bon chez vous, c’est agréable, on peut y être très déshabillée. Vous voyez, dit-elle en virevoltant sur elle-même, dévoilant de magnifiques fesses aux passages.
    
    Elle s’assoit sur un tabouret haut de la cuisine, croise ses jambes et me regarde préparer son petit-déjeuner.
    
    — Je suppose que c’est vous qui m’avez trouvée après mon accident ?
    
    — Exact. La policia a certainement retrouvé votre voiture, les appeler serait une bonne idée.
    
    — J’ai appelé ma sœur, elle s’occupe de tout. Comment vous appelez vous ?
    
    — Emiliano.
    
    — Donna, vous parlez bien le roumain. Ou sommes-nous ?
    
    — Sur les hauteurs de Moieciu de Jos, dans ma maison.
    
    Elle ...