1. L'été de mes 18 ans 32


    Datte: 31/03/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica

    ... tissu en effleurant sa peau à plusieurs reprises. Elle frémit en respirant plus vite. Je la saisis aux épaules et la fis pivoter, la plaçant en face du grand miroir. Je restai derrière elle et posai mes mains sur ses hanches. « Regardez, cela vous va très bien, vous ne trouvez pas? ». Troublée, elle bredouilla : « euh oui, c'est vrai... ». Puis je tirai un peu le tissu sur ses hanches, faisant remonter la robe. Les genoux apparurent, puis les cuisses, assez charnues. « Hummm, évidemment comme ça c'est encore mieux, beaucoup plus sexy... ». Je sentis son trouble s'accentuer. Je remontai sa robe encore plus haut, laissant apparaître sa culotte. « Hummm là, c'est carrément indécent, vous ne trouvez pas? ». Je voyais ses yeux chavirer de plus en plus. « Arrêtez, je suis mariée », bredouilla-t-elle.
    
    Sentant sa résistance fondre, je posai mes lèvres sur son cou, y posai plusieurs bisous avant de la mordiller légèrement. Elle poussa un gémissement. Puis mes mains quittèrent ses hanches remontant sur son ventre et atteignant sa poitrine. Je massai ses seins à travers la robe et le soutien-gorge. Elle ne protesta pas si bien que je lui murmurai à l'oreille : « J'aimerais les sentir nus sous mes doigts. Retire ta robe! ». Elle obéit en ...
    ... fermant les yeux. « Bien, maintenant dégrafe ton soutien-gorge! ». Avec un soupir, elle tâtonna dans son dos et le dégrafa. « C'est bien, tu es obéissante. Tu veux que je les caresse? ... Allez, dis-le, sinon je m'en vais ». Elle hésita quelques secondes puis dans un nouveau soupir, elle murmura : « Oui, caresse-les! »
    
    Je posai alors mes mains sur les globes durs de ses seins tendus. Je les massai d'abord doucement, puis de plus en plus vigoureusement. Elle se mit à gémir. « Mon Dieu, que m'arrive-t-il? J'aime mon mari, arrêtez, je vous en prie! ». Faisant la sourde oreille, je pris ses pointes dressées entre mes doigts et me mis à les presser, à les faire tourner. Je la sentais se raidir de plus en plus pour ne pas se laisser totalement aller. « Maintenant, tu vas ôter ta culotte... allez, plus vite que ça... ». Je pinçai brutalement ses tétons et elle poussa un cri. Elle se pencha pour saisir sa culotte et la faire glisser au sol.
    
    « Hummm, quelle toison fournie! ». J'y passai la main, caressant ses poils. Puis ma main atteignit les rives de son sexe. Je vis très vite qu'elle était trempée. Je retirai ma main et lui dis : « Hélas, je n'aime pas beaucoup les poils à cet endroit-là, c'est très désagréable pour les caresses buccales." 
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