Le projet artistique (71)
Datte: 30/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... branler fermement mais lentement. Je couinai à mon tour et nos lèvres se rejoignirent pour un baiser torride. Nos mains s’activèrent plus franchement et nous nous retrouvâmes intégralement nus. Une main sur le sexe, l’autre explorait avec fièvre le reste du corps. Le fameux fauteuil dans lequel nous avions fait l’amour la première fois était encore là. Je dirigeai lentement Amandine vers celui-ci. Elle comprit ma démarche et se laissa guider avec plaisir. Une fois assise, elle m’empêcha de bouger et m’offrit une délicate fellation.
Délicate mais terriblement excitante fut cette pipe. Sa langue et ses lèvres jouaient subtilement avec mon gland et ma hampe. D’une main elle me malaxait les couilles tandis que l’autre venait, d’un doigt, chatouiller mon petit trou. J’étais au paradis et il me fallut une force mentale phénoménale pour me retirer avant qu’il ne soit trop tard. Satisfaite de sa performance, Amandine me toisa avec un petit air victorieux. Je la repoussai doucement dans le fond du fauteuil et vint m’agenouiller entre ses cuisses grandes ouvertes. Son joli sexe, qu’elle semblait avoir rasé pour l’occasion, suintait d’une claire et odorante cyprine. J’y plongeai ma langue et elle couina doucement.
J’entrepris de lui rendre en délicatesse et tendresse orale ce qu’elle venait de faire. Mes lèvres et ma langue se concentrèrent sur son clitoris, tout en s’égarant de temps en temps sur ses grandes lèvres. Mes doigts allèrent tendrement fouiller son intimité ou tâter ...
... l’autre orifice à disposition, sans y entrer. C’était suffisant pour la faire gémir et souffler. Amandine se caressait les seins, tirait sur ses tétons pendant ce temps-là. Son antre se mit à couler plus fort et elle dut me stopper avant de jouir trop tôt. Comme moi, elle avait d’autres ambitions pour ces ébats. Je me redressai et vins l’embrasser. Mon gland frotta sur l’intérieur de sa cuisse avant d’aller toquer à l’entrée de son vagin. D’un coup de hanche je me plaçai correctement et Amandine plaqua ses mains sur mes fesses :
— Viens, me dit-elle. Viens en moi mon amour.
— J’arrive, mon amour.
Je poussai et elle me tira en avant. Mon gland entra lentement, enveloppé par les grandes puis les petites lèvres de ma chérie. Je continuai et il pénétra son vagin chaud, humide et soyeux. Amandine me pressa les fesses et je me fichai tout au fond de son antre. Je sentis une contraction de son vagin autour de ma queue, comme s’il me souhaitait la bienvenue. Je savourai un instant ma présence ici avant de ressortir lentement. Cela arracha un petit râle à mon Amandine et je grognai aussi de mon côté. Je me renfonçai alors sur ce même rythme lent nous faisant rugir tous les deux. Notre tempo alla alors crescendo. Mes coups de reins s’accélérèrent, Amandine projeta son bassin en avant et nos cris s’amplifièrent.
Mes parents, ma sœur allaient sûrement nous entendre mais à vingt-et-un ans, je n’en avais plus rien à faire. Au pire, les vieux y trouveraient le coup de pouce pour ...