Une école très spéciale (4) - Histoires de Sexe

Une école très spéciale (4)

... alors que ses jambes commencent à s’agiter de plaisir. Je crois qu’elle a joui, mais cela n’arrête pas son compagnon qui continue et qui augmente gentiment son rythme de pénétration.

Le troisième couple a déjà changé de position le temps que je décrive les autres. Lorsque nous sommes arrivés, la brune était violemment prise en levrette et on entendait en écho ses cris de plaisir et ses fesses qui claquaient contre le corps de l’homme qui la baisait. Et très rapidement, il l’a soulevée pour l’asseoir avec vigueur sur une table et continuer à la baiser. Il l’attrape par les cheveux et amène sa bouche à la sienne et les deux s’embrassent avec énergie, sans arrêter de s’adonner à leur baise.

Sonia m’emmène vers le seul canapé de la pièce et sans attendre plus tard, elle glisse sa langue dans ma bouche. Je me laisse faire et apprécie ce moment que j’ai longtemps attendu. Après une petite minute à tourner ma langue autour de la sienne, je sens sa main glisser dans mon pantalon. Je ne peux me retenir de lâcher un petit soupir lorsqu’elle commence à masser mon gland qui je crois n’a jamais été aussi dur. Je me prends au jeu et glisse à mon tour ma main dans son jean. Je ne suis pas vraiment surpris qu’elle ne porte pas de culotte. Je sens enfin sa chatte toute chaude et mouillée de mes propres doigts.

— Qu’est-ce que tu attends ? me murmure-t-elle.

Je ne me fais pas prier et j’enfonce mon majeur en elle. Sonia soupire. Je retire doucement mon doigt puis l’y recommence. ...

... Pendant ce temps, elle continue à me branler de sa douce main.

Soudain, elle m’arrête, se baisse et déboutonne ma braguette. Sa main sort mon pénis et ses lèvres l’entourent. Je me sens aux anges. C’est tellement mieux que la fois dans les toilettes d’il y a deux jours. J’attrape sa tête de mes mains et la rapproche de moi. Ma queue est totalement dans sa bouche. Sa langue la parcourt de long en large. Je suis à deux doigts d’éjaculer quand elle se relève et s’assied sur le canapé. Ma belle rousse ôte son pantalon et écarte les jambes, me dévoilant sa chatte rose tout humide.

— Eh bien, qu’attends-tu ?

Je m’approche de Sonia et écarte ses lèvres du bas avec deux de mes doigts. Je lèche avec envie le vagin de ma compagne en essayant de découvrir son clitoris. Une fois, ma langue s’y attaque tandis que je le pince. Je sens les frissons de plaisir parcourir ma marraine. Je crois bien qu’elle aime mes coups de langue sur son clitoris.

Elle me relève subitement, m’embrasse et me glisse à l’oreille : « Dépêche-toi de me prendre ». Ses désirs sont des ordres.

Je retire mon t-shirt et embrasse Sonia, avant de guider mon pénis jusqu’à l’entrée de son vagin.

— Dépêche, supplie-t-elle.

Et là, délivrance. A l’instant même où mon pénis pénètre sa chatte, je ressens une sensation de bonheur extrême. Puis mon instinct prend le dessus : je commence des va-et-vient de plus en rapides à l’intérieur de sa chatte chaude, qui se resserre au fur et à mesure de mes mouvements. Je ...