La famille de ma meilleure amie (5) - Histoires de Sexe

La famille de ma meilleure amie (5)

Une fois le repas terminé, j’aidais Valérie à faire la vaisselle et à débarrasser, Léa fila dans sa chambre et Rick s’installa sur le canapé, face à la télé, pour regarder le foot. Tandis qu’elle rangeait des assiettes dans le placard derrière moi pendant que je m’occupai de la vaisselle, j’interrogeais Valérie :

— Sinon... Pour l’autre soir...

Elle se retourna avec une mine surprise.

— Oui ?

Je pris une grande inspiration.

— C’est vous qui m’avez ramené dans la chambre ?

— Oui. Ne t’en fais pas, personne n’est au courant pour nos petits jeux sous la douche.

Elle me fit un clin d’œil en finissant sa phrase. Elle portait un paréo orange qui lui allait vachement bien, même si je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’au moindre geste brusque de sa part, ses énormes seins passeraient par-dessus.

— Qu’est-ce qui vous a pris d’ailleurs ? repris-je.

— Rien de spécial, répondit-elle. Il y avait un jeune homme avec une belle queue toute raide en face de moi et j’ai eu envie de m’amuser. Tu ne t’es pas amusé toi ?

— Oh si beaucoup...

Les mots m’étaient encore sortis de la bouche sans que je les contrôle.

— Enfin, je veux dire... Euh... tentai-je de me reprendre.

Elle rit.

— Il n’y a pas de mal, tu sais. Ce n’est que du plaisir.

C’est comme ça que vous justifiez ce que votre mari et votre fille font ? Me demandai-je intérieurement.

— Et puis je suis bien consciente que mon corps est désirable et qu’il y a peu de chance pour qu’on me ...

... résiste. Encore moins un petit jeune comme toi, ajouta-t-elle.

Je ne pus m’empêcher de rougir.

Quand elle eut fini de ranger tous les couverts dans le tiroir, elle passa très près de moi pour me murmurer à l’oreille :

— Peut-être même qu’on pourrait recommencer. Cela ne me déplairait pas.

Je manquais de lâcher l’assiette que je tenais dans les mains.

— Retrouvons-nous dans ta chambre.

Puis elle partit sans rien ajouter. Rick comptait visiblement rester pour regarder le match. C’était risqué, mais... J’en avais trop envie. J’avais envie de revoir Valérie nue, de poser mes mains sur son gros cul et sa voluptueuse poitrine... Je finis la vaisselle en vitesse et montai en saluant Rick. Elle m’attendait dans ma chambre. Nue. Assise sur le lit, les jambes croisées, elle semblait ravie de cette situation.

Je fermais la porte de la chambre à clé et m’approchais d’elle.

— Déshabille-toi. Mets-toi à l’aise, me dit-elle.

Je m’exécutais et sitôt à poil, sitôt elle se leva pour me pousser sur le lit. Elle monta sur moi en 69 et commença à sucer ma bite déjà en érection face à ce spectacle. J’avais une magnifique vue sur sa chatte et je fus pris d’une furieuse envie d’y goûter. Ce que je fis. Je bondis dessus tel un chat sur sa proie et lui assénai plusieurs coups de langue. A l’aide de mes doigts, je parvins à toucher son clito que je me mis à caresser. J’étais puceau et je ne savais absolument pas ce que je faisais, mais ma partenaire stoppa un instant sa fellation ...