1. Chambre avec vues (1)


    Datte: 28/03/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Ana_Lisa, Source: Xstory

    ... déjà baissé. La chambre était à présent dans la pénombre. Il était toujours là, immobile, je voyais à ma gauche la masse de son corps à contre-jour dans le fauteuil devant la fenêtre. Dans mon sommeil je m’étais mise sur le dos. Il pouvait peut-être apercevoir mon soutien-gorge et la naissance de ma poitrine par l’ouverture de mon chemisier, ou bien mes cuisses ou mes fesses sous ma jupe s’il s’était penché un peu ou déplacé pendant mon sommeil. Rien qu’il n’ait déjà vu.
    
    Je m’éveillais doucement de ce petit somme bienvenu, souriant, m’étirant et caressant lentement mes jambes l’une contre l’autre. J’allumai ma lampe de chevet et me levai pour prendre un livre dans ma valise. Je m’efforçais de ne pas regarder mon observateur mais jetais malgré tout de discrets coups d’œil dans sa direction. Il ne me quittait pas des yeux. Je devinais une respiration un peu forte, assez courte, qui trahissait peut-être une certaine émotion. Je me rassis sur le lit et décidai de retirer mes bas. Je fis glisser ma jupe sur ma jambe gauche jusqu’à la lisière de mes Dim Up et fis lentement coulisser le nylon, dévoilant ma peau soyeuse au regard fasciné de mon gentil voyeur qui ne put se retenir de déglutir assez peu discrètement.
    
    Je recommençai à droite, tout aussi lentement, jouissant de la caresse du nylon et de mes mains sur mes jambes fines et mes pieds nus. Puis je m’assis contre la tête de lit, pieds repliés, pour commencer à parcourir mon livre posé sur mes genoux. Pour lui j’étais à ...
    ... contrejour de la lampe de chevet, mais il parvenait probablement à glisser son regard sous ma jupe, entre mes jambes et mes cuisses et peut-être à apercevoir ma culotte blanche. Je me demandais si l’humidité que je sentais depuis quelques instants entre mes cuisses pouvait déjà transparaître sur le coton blanc et souriais discrètement à cette idée, percevant de plus en plus nettement le trouble de mon admirateur.
    
    Je prenais mon temps. J’avais finalement trouvé mon rythme. Il fallait le faire languir un peu, faire monter son désir et son singulier plaisir de pouvoir mater une jeune femme, si naturelle, dans son intérieur, d’être si près d’elle et pourtant virtuellement absent. Et dans cette tension qui montait doucement, j’avais moi aussi retrouvé pleinement le plaisir de me dévoiler progressivement, très innocemment bien sûr, vous me connaissez, mais inexorablement. Et je savais maintenant que j’étais prête à aller jusqu’au bout.
    
    Ma jupe avait glissé sur mes cuisses. Elle ne couvrait plus rien. J’allongeai ma jambe droite mais conservais la gauche relevée pour supporter mon livre. Mon entrejambe, dégagée de l’ombre portée de ma jambe droite, s’exposait à présent pleinement à sa vue, et je ne doutais plus vraiment de la présence d’une tâche, grandissante, en son centre. Mon voyeur s’efforçait de ne rien montrer mais il se tortillait de plus en plus sur son fauteuil.
    
    Cette situation m’excitait déjà beaucoup mais il était évident qu’on ne pourrait s’en tenir à si peu. ...
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