Série « Textes en commun » Olga et le docteur, chapitre trois : visite à domicile
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... moi, nous sommes candaulistes. Il adore me regarder faire l'amour avec un autre homme et moi de même. Cela te gêne, peut-être ?
• C'est que... Je n'y suis guère habitué.
• On s'y fait vite. Allez, viens, on va dans notre chambre.
Elle se leva du fauteuil et dans le même mouvement, fit passer son teeshirt par-dessus sa tête, dévoilant sa somptueuse nudité et ondula vers la chambre. Le spectacle de son cul mouvant ôta les dernières résistances de Joseph. Il avait trop envie de la baiser et ce n'est pas le mari qui l'empêcherait, nom de Dieu !
Et Olga s'allongea sur le lit, le sourire aux lèvres, les cuisses légèrement entrouvertes avec un petit geste du doigt qui voulait dire : « tu viens » ?
***
Cette femme faisait oublier toutes les convenances à Joseph Martin. Il ne pensait plus au mari, ni à Karine, ni à ses patients. Seulement à elle, qu’il allait posséder. Lui, le prudent et sage docteur, ne se reconnaissait plus dans le démon en rut qu’il était devenu. Etait-ce ce que certains appellent le démon de midi ? En tout cas Joseph Martin savait ce qu’il voulait : baiser cette femme et maintenant !
Joseph prit tout de même le temps d’observer cette chambre, où les dressings étaient couverts de grandes glaces qui permettaient de refléter ce qui se passait dans le grand lit, un « king size » qui, manifestement, ne devait pas servir qu’à dormir à deux. Il y avait aussi ce grand fauteuil, sur lequel prit place le mari et qui était un excellent poste ...
... d’observation pour lui.
Joseph Martin se débarrassa rapidement de ses vêtements et se retrouva lui aussi dans le plus simple appareil. Il fut lui-même impressionné par l’importance de son érection. Cette femme avait sur lui un effet aphrodisiaque qu’il n’avait jamais connu. Il était en rut, il n’était plus qu’un mâle qui allait saillir sa femelle.
Et puisque ce mari aimait ce genre de spectacle, il allait être servi !
Joseph Martin grimpa à son tour sur le lit, s’approchant d’Olga. Il parvint à maîtriser son envie de la prendre immédiatement. Il voulait montrer l’emprise qu’il avait sur elle, du moins le pensait-il.
Il prit les lèvres de son amante, dans un baiser interminable, seulement interrompu par le besoin de reprendre leur souffle.
Les mains de Joseph n’étaient pas inactives. Il entreprit de caresser sa maîtresse, insistant sur ses petits seins si érogènes, qu’il empoignait. Olga devait avouer que peu d’amants avaient les mains aussi douces que ce docteur. Elles étaient diaboliques, ces mains, parcourant son corps, déclenchant chez elle des frissons et accroissant encore son excitation. Joseph le constata en fouillant de ses doigts la chatte béante et trempée. Il eut un moment la tentation de la fister, certain qu’elle devait aimer cela. A vrai dire, « fister » était un mot qu’il ne connaissait pas, mais c’était l’envie de la faire jouir manuellement qui lui était venue à l’esprit.
Mais au fond, ce n’est pas ce qu’il voulait. Il l’embrassa encore, alors qu’elle ...