La fille de la plage (1) - Histoires de Sexe

La fille de la plage (1)

... instant je suis encore plus excité. J’ai 1000 questions qui se bousculent dans ma tête. J’ai cette magnifique femme nue à côté de moi, j’ai son bikini dans les mains mais je n’arrive pas à bouger.

Elle m’attrape alors par le cou, elle glisse ses jambes autour de ma taille et elle m’embrasse. Ce baiser est un mélange de sensualité et de bestialité. Mes mains commencent alors à se balader sur son corps. Je caresse son bras, puis je la soulève pour lécher sa poitrine. Je suce ses tétons comme si c’était la meilleure glace de la Côte d’Azur. J’ai envie d’embrasser chaque centimètre de sa peau. Elle me regarde avec malice en souriant mais elle ne dit rien.

Je glisse alors mon pouce sur son clitoris. Je commence doucement à le titiller, je sens ses tétons se durcir contre mon torse. J’accélère le mouvement et j’entends son souffle dans mon oreille. Quand je glisse deux doigts dans sa chatte elle resserre son étreinte au niveau de mon cou. Mes doigts vont d’abord doucement en elle, et de plus en plus vite. Mon pouce continue à former des cercles sur son clitoris. Sa respiration est de ...

... plus en plus forte. Je glisse alors un troisième doigt en elle. Après quelques va-et-vient je sens son corps se raidir. Et elle pousse un léger cri, essoufflé. Elle reste là un instant sans bouger puis elle s’éloigne en souriant.

J’ai le sexe prêt à exploser. Je rêve qu’elle pose ses mains dessus. Je rêve de pouvoir la pénétrer de toute ma longueur. Elle regagne la plage et je la suis. Nue, elle ramasse sa serviette et prend son sac.

Je ne comprends pas. Alors que je m’apprête à parler. Elle me regarde et me dit « Chuuuuut ». Elle se rapproche en regardant mon érection et elle passe sa langue sur ses lèvres.

Une fois devant moi elle pose sa main sur mon sexe et elle la resserre doucement. Elle m’embrasse langoureusement. Puis elle s’éloigne le sac dans une main, sa serviette dans l’autre. Elle se retourne et me dit « à samedi » puis elle part de la crique d’un pas déterminé nu et en rigolant.

Je reste un moment sans bouger. Je me pince pour être sûr que je ne suis pas en train de rêver.

Elle m’a dit "à samedi" mais je n’ai même pas demandé l’heure. Elle me manque déjà !