Soumission douce (3) - Histoires de Sexe

Soumission douce (3)

Serviette autour de la taille pour moi, au-dessus de la poitrine pour elle, nous nous dirigeons vers la chambre. Nos corps sont encore brûlants suite à notre douche qui aura duré des heures ! Nous nous allongeons nus sous la couette en nous enlaçant.

— Incroyable ! Je n’ai pas vu le temps passer. Je n’arrive pas à croire qu’on vient de baiser pendant plus de trois heures sans s’arrêter ! Ma stupéfaction et ma fierté me font arborer un sourire radieux.

— Je ne comprends même pas comment c’est possible, ajoute-t-elle.

— Je n’ai jamais fait ça. Jamais.

— Tu m’as épuisée !

— Ahahah tu criais "Je vais mouriiiir !" ahahaha, dis-je en la taquinant

— J’ai joui je ne sais pas combien de fois... dit-elle le regard brillant.

— Et on avait même pas nos jouets de la dernière fois !

Je fais référence ici à une rencontre précédente lors de laquelle nous avions testé pour la première fois plusieurs accessoires tels que cordes, pinces à tétons, bandeau et bâillon.

— Non. On a rien. J’ai juste mon vibro. Tu n’as rien pour m’attacher, fit-elle avec une moue joueuse.

— Je sais, je n’ai rien pu ramener. Désolé.

— Hmmm tu sais... j’ai vu que tu avais deux ceintures dans ta valise. Tu pourrais m’attacher avec ça. Pas besoin de plus.

À ce moment-là, mon regard change. J’aime immédiatement son idée et le fait qu’elle ait déjà pensé à ce que je pourrais faire avec ces ceintures commence à m’exciter. Nous n’avons jamais joué avec un vibro et l’imaginer à ma merci, ...

... alors que je serais armé d’un gros gode vibrant en plastique rose fait déjà naître une nouvelle érection sous la couette. Mes mains descendent sur ses fesses et je l’embrasse à pleine bouche.

— C’est une très bonne idée que tu as eue là. Je pourrais bien profiter de ton petit corps si tu étais attachée à ce lit. Ton vibro deviendrait mon meilleur ami à moi aussi.

Dans le cadre de notre relation à distance, je lui avais demandé de s’acheter ce vibro, son premier sex-toy. Elle l’avait depuis adopté et utilisé de nombreuses fois seule, sans oublier de m’envoyer photos et vidéos selon mes demandes. Il était de bonne taille, au moins 25 centimètres et épais, plus conséquent que ma propre queue, il faut bien le reconnaître.

— Tu sais que je n’ai jamais osé me l’enfoncer en entier ? sourit-elle avec malice.

— Je sais. Tu me l’as dit.

Je me redresse sur le lit en prononçant ces mots.

Je dégage la couette sur le côté, découvrant complètement son corps sublime. Ses gros seins sont posés comme deux obus sur son torse, ses hanches fermes surmontent ses jambes fines, sa chatte imberbe est encore rougie par les heures de sexe passionné qui viennent de s’écouler, ses cheveux ondulent sur les draps, son sourire radieux affiche ses dents blanches entre ses lèvres charnues et roses.

Je me lève et me dirige vers ma valise posée au sol pour en sortir deux ceintures de cuir, une noire et une marron. Elle se dandine d’impatience sur le lit. La lumière chaude qui inonde la pièce ...