Stage hôtel (1)
Datte: 26/03/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Eudes, Source: Xstory
... compliquée pour harmoniser sa vie familiale et sa vie professionnelle.
Je me décide à avancer et me dirige vers le jeune beau mâle (qui était debout).
Il tendit légèrement sa main et me la déposa doucement sur la bosse de mon pantalon. Même à travers le tissu, je sentais la douceur de ses gestes. Il se pencha vers moi et me déposa un baiser sur la joue ; inconsciemment malgré mon excitation, je n’étais pas à l’aise avec le patron présent et tout proche. J’incline un peu ma tête et la tourne vers Arnaud, il me dépose délicatement ses lèvres sur les miennes et sent sa langue tourner dans ma bouche, et ce fut un très chaud baiser. Pendant ce temps, sa main avait saisi ma bosse et la malaxait. C’était terriblement bon. Pendant ce temps, je sentais des doigts s’agiter sur la ceinture de mon pantalon. C’était le plus âgé qui essayait d’ouvrir mon uniforme. Après avoir ouvert le pantalon et descendu la fermeture éclair de ma braguette, il descendit légèrement mon slip. J’étais terriblement excité. Pendant ce fougueux baiser, je me laissais faire en fermant les yeux.
Je sentis un léger déplacement de l’homme et oh surprise, il avait enlevé la queue du jeune pour enfourner délicatement la bite dans sa bouche jusqu’à mes couilles. Oui, c’était vrai, il avait une manière de sucer assez exceptionnelle. Les sensations se développaient de plus en plus, elles étaient absolument indescriptibles. On ne m’avait jamais fait une telle fellation. C’était bon, très bon. Je commençais à ...
... onduler et bouger en donnant même parfois des coups de reins afin que ma bite rentre encore plus profondément. Même avec mon chibre aussi englouti, il arrivait encore à me l’aspirer de ce me fit gémir. J’étais bien. Puis vint monsieur Edouard à côté de moi. J’étais content, j’allais pouvoir probablement lui toucher son énorme queue. On me poussa progressivement et doucement vers le lit. Je me suis allongé sur le dos, les jambes encore à terre.
Et d’un côté, j’avais le beau mâle imberbe avec une bite honorable et des couilles bien serrées rasées et de l’autre côté, monsieur Edouard avec son énorme cylindre de vingt-trois centimètres et d’un diamètre d’à peu près cinq bons centimètres. J’étais bien. J’étais sucé, et masturbant de chaque main la queue de monsieur Edouard et celle d’Arnaud. Je les caressais, je passais mes index autour de couronne et frottais leur frein. Je les sentais vibrer ? Au bout d’une queue, le liquide séminal me mouillait le bout du doigt. Cela semblait leur plaire. Je commençais à avoir chaud, mon sexe se raidissait de plus en plus. Inconsciemment, je dis à mon suceur d’accélérer, je n’en pouvais plus. Mais le cochon, pour me faire languir, ralentissait ses mouvements de va-et-vient de tête et de bouche sur mon sexe qui n’en pouvait plus.
Il avait un art de travailler ma queue à l’intérieur de sa bouche, ce qui me faisait réellement décoller du matelas, je soulevais même tout mon corps et chose qui ne me soit jamais arrivée, j’ai poussé un grand cri ...