Cédric n'est plus un enfant (2) - Histoires de Sexe

Cédric n'est plus un enfant (2)

Comme je l’ai déjà dit, il s’agit d’une histoire vraie. Des détails sont changés, c’est évident. Les noms par exemple. J’ai choisi la 3e personne, car c’est plus simple, ça m’aide. J’en profite pour vous inviter à lire un message que je laisserai sur le forum si cela vous intéresse. Bonne lecture.

8h20, samedi matin. Ça fait presque 1 mois que Cédric et sa mère, Karine, ont regardé un porno ensemble. Le lendemain matin, Cédric était longuement resté dans sa chambre sans oser se lever et affronter la discussion qu’il pensait inévitable avec sa mère, mais finalement, rien. La discussion n’était jamais venue et Karine semblait vouloir faire comme si de rien n’était. Cédric n’avait pas trouvé le courage d’aborder le sujet et la vie avait repris son cours.

8h20 samedi matin donc. Cédric émerge de sa chambre et va à la cuisine. Café, tartines, jus d’orange. Quelques minutes plus tard arrive Karine. Depuis cette soirée, Cédric a du mal à ne pas se faire de film quand sa mère est en pyjama. Enfin, ce que sa mère appelle pyjama, c’est souvent des débardeurs en coton blanc et culotte assortie.

Pendant que Cédric a le nez dans son café, il observe sa mère qui retourne les placards, pestant contre elle-même de n’avoir pas racheté son thé du matin. Les placards du haut qui obligent Karine à lever les bras en se mettant sur la pointe des pieds dévoilent le bas de son dos ou de son ventre tout en redressant sa poitrine aux tétons saillants tandis que les placards du bas révèlent le ...

... début de ses fesses et tendent le tissu de la culotte sur les grandes lèvres qui se devinent sous le coton.

Cédric ne se rend même pas compte de ses regards ni même du terrain glissant où ses pensées l’entraînent. Ces derniers temps, il a beau se sermonner, son imagination s’échappe et sa mère occupe trop souvent ses fantasmes.

— Tu as fait l’amour avec combien d’hommes ?

C’est trop tard. La question est partie toute seule. Rêvassant, il n’a même pas réalisé ce qu’il disait que la question était déjà posée. À force de penser à sa mère ainsi, il se retrouve dépassé par sa spontanéité. Et Karine, sur la pointe des pieds pour vérifier un placard pour la deuxième fois s’est figée.

— Non merde. Attends, désolé, c’est pas ce que je voulais dire ?

Karine se retourne. Sur son visage, ni colère ni choc. Une expression que Cédric n’arrive pas à décrypter.

— Tu voulais dire quoi ?

— Rien, rien. Laisse tomber.

Il se lève et file sous sa douche. Il y prend son temps. Il ne sait pas du tout comment affronter les conséquences de ce qu’il vient de dire. En même temps, qu’est-ce qui lui a pris aussi ? Peut-être qu’une bonne branlette sous la douche lui permettra de sortir de la salle de bain en ayant au moins dégagé la tension sexuelle que le petit-déjeuner a laissée. Il empoigne sa queue et commence à se branler sous l’eau chaude. Mais il a beau essayé de penser à autre chose, il en revient toujours à sa mère dans son "pyjama", à ses seins qui pointent sous le coton, ...