1. Les défis de Juliette (2)


    Datte: 24/03/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... étui... Certains devaient le remarquer. Surtout des femmes, qui pouvaient deviner mon excitation.
    
    Je mouillais encore plus. Ma sève coulait sur ma cuisse gauche, et je ne pouvais absolument rien cacher...
    
    Cette fois, je suis arrivée à me retenir de jouir, jusqu’à ce que Pauline me libère en annonçant un changement de pose !
    
    J’ai prétexté une allergie, pour retourner me "moucher" derrière le paravent. Quatre kleenex y sont passés...
    
    Dernière de ces poses longues que je redoutais. Mais c’était la pire !
    
    Pauline a apporté une chaise sur l’estrade. Debout, je devais me pencher en avant, placer un coude sur la chaise pour appuyer mon menton sur mon poing. Mon autre main était posée sur ma fesse. Mes jambes étaient tendues et écartées, mon dos était à l’horizontale, et je devais me cambrer au maximum...
    
    La séance a redémarré, dans une ambiance électrique. Le lien érotique entre les stagiaires et moi me semblait presque palpable, et je les imaginais, mouillant pour les femmes, bandant pour les hommes.
    
    Mes seins étaient tellement durs qu’ils semblaient encore mieux accrochés à mon buste. Sans même le voir, je savais que mon petit cul était un appel au viol... Putain, je mouillais, ou plus exactement, je déversais un flot de cyprine qui coulait sur mes cuisses ! Maintenant, personne ne pouvait l’ignorer.
    
    Je savais que, cette fois, j’allais jouir, je ne pourrais jamais me retenir. Les lèvres de mon abricot gonflé étaient ouvertes sur ma fente transformée en ...
    ... source, et sur mon clito exhibé.
    
    Mais j’étais incapable de résister à ce plaisir fou de l’exhibition, et j’ai voulu en offrir encore plus aux regards des stagiaires. Je pensais toujours à ma Juliette, mais aussi aux hommes qui, depuis Léo (lire "la fête de la musique"), avaient planté leurs bites dans mon cul. J’avais envie de le montrer, ce petit trou, et ma main a écarté mes fesses, découvrant ma rosette en manque.
    
    Je suis restée dans cette position, pendant un temps que je suis incapable d’estimer. Je sentais le plaisir dévaler dans mon ventre et dans tout mon corps, comme un tsunami. Je ne cherchais même pas à le refouler, juste à rester aussi longtemps que je le pouvais au bord de l’orgasme, pour que celui-ci soit le plus intense possible.
    
    Au moment où il a explosé, j’ai repensé à Juliette, et je l’ai imaginée, nue, en train de jouir à cette seule lecture. J’ai poussé un petit cri étouffé, et je me suis redressée, haletante, ruisselante de sueur, sous les regards médusés. J’ai pris le prétexte d’une crampe brutale, mais je doute que quelqu’un y ait cru.
    
    Pauline, inquiète, m’a demandé si je voulais arrêter, bien que la pose n’ait duré qu’une dizaine de minutes. Ne voulant pas pénaliser les artistes ni gâcher le stage de Pauline, je lui ai répondu que j’allais continuer et reprendre la même position, après m’être étirée - et après avoir inondé six nouveaux kleenex derrière le paravent.
    
    Trois fois, avait exigé ma Juliette... Je l’ai fait ! Malgré ma honte, malgré ...