Le jeu de la séduction et de la mort (4)
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory
... comportait un canapé d’angle et une table basse. Le lieu était plutôt exigu et rappelait à Tom qu’il ne roulait pas sur l’or.
— Assieds-toi, mets-toi à l’aise, dit-il. Ne te gêne pas pour enlever ta robe. Il fait terriblement chaud ici.
Maylis s’assit sur le canapé tandis que Kilian se glissait comme une anguille dans la pièce et s’asseyait sur un tabouret. Elle portait cette même robe qui avait été trempée par l’orage. C’était un vêtement sage qui s’arrêtait en haut des cuisses et laissait les bras et les épaules nus, sans avoir de décolleté.
Tom regarda avec désapprobation les genoux serrés de Maylis.
— Tu sais que pour avoir du succès, il faut être exhibitionniste ? dit-il.
— Je sais.
— Alors pourquoi ne pas commencer maintenant ? Je te regarderai quand tu seras là-bas. Tu seras nue et tu te feras baiser à longueur de journée, avec des caméras tout autour de toi. Je verrai tout cela et je te ferai des dons pour t’encourager. Tu sais comment ça marche, hein ?
— Oui.
— Tu aimes être sodomisée ?
— J’adore.
— Il y a intérêt, parce que tu vas te retrouver avec d’énormes bites dans ton cul. Et moi, je te donnerai de l’argent pour te voir ou parce que je t’ai appréciée. C’est grâce à des gens comme moi que tu deviendras riche, tu sais ?
Maylis hocha la tête.
Tom devenait nerveux et son caleçon trahissait ses pensées : il était en pleine érection.
— Alors on commence maintenant ?
— Tu me fais vraiment une promesse de don ?
— Oui ...
... oui ! Quelques dizaines d’euros ou plus si je t’apprécie. Clotilde le vérifiera. Ce sera beaucoup plus qu’une passe avec une putain, tu sais ?
— Oui, je sais.
— Alors, déshabille-toi !
Tom savait sûrement qu’il n’avait que ceci à gagner : Maylis ne ferait pas de lui un bénéficiaire parce qu’il n’était pas dans le besoin. Pour ne pas décevoir son futur donateur, elle découvrit sa poitrine. Elle s’amusa de l’expression extasiée du jeune homme, puis elle se leva pour se débarrasser de sa robe et de sa culotte.
— Ça va ? fit-elle en se rasseyant.
— Tu es sublime !... Tu ne veux pas écarter les cuisses un instant ?
Maylis s’était également déshabillée pour être à l’aise. Aussi fin qu’il était, le tissu de sa robe lui semblait être de trop et elle n’aimait pas les soutiens-gorge. Tous les hommes qu’elle avait connus exigeant de la voir nue, elle en avait pris l’habitude.
Clotilde entra dans le salon avec un plateau de boissons et le posa sur la table basse. Elle était agréable à voir, grâce à une taille fine et de petits seins fermes et saillants, mais son corps ne brouillait pas autant la vue que celui de Maylis, qui paraissait être une offrande divine. Sa peau moins bronzée que celle des autres femmes lui conférait un aspect lumineux, une impression de pureté. Celle de ses seins était aussi douce que du coton.
Après s’être mis debout, Tom fit glisser son caleçon sur ses jambes pour exhiber un phallus de taille moyenne et il se branla en deux mouvements de ...