Cette punition qui a changé ma vie (10)
Datte: 24/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
... régulièrement des aventures avec les amies de maman chez qui sa stature, ses pecs en ligne, ses abdos qu’on croirait photoshoppés et son regard noir font des ravages.
Elle est exactement l’inverse, sans attrait, quasiment laide, un corps décharné, des cheveux raides, un rare sourire sous des yeux fuyants. Mais visiblement dans leur couple c’est elle qui porte la culotte. J’ai toujours pensé que son mari ne s’accordait des aventures avec ces riches bourgeoises qu’après avoir obtenu son accord.
Leur appartement se situe à l’autre bout du parc, ils n’ont rien à faire dans la cuisine au beau milieu de la nuit. Décidée de les surprendre j’ouvre brutalement la porte.
Je reste ahurie devant ce que je découvre.
Une troisième personne les accompagne, la bonne nunuche récemment embauchée est avec eux dans la cuisine.
Plutôt enrobée et extrêmement jolie, elle doit souvent bloquer le regard des hommes, voire des femmes. Pour changer un peu du jardinier,les amies de maman ne perdront pas beaucoup de temps avant de tenter leur chance.
Elle est nue, à quatre pattes, en train de manger dans l’écuelle du chien où sa tête disparaît à moitié pour y attraper la nourriture déposée. Elle est tenue en laisse par l’homme qui la motive de la voix. De sa main libre il tient une cravache avec laquelle, pour l’encourager, il tapote son postérieur dodu qui pointe vers le haut.
Je doute qu’elle ait réellement besoin d’encouragements tant elle lèche avec énergie le fond de la ...
... gamelle pour y attraper les dernières croquettes, ses tétons tendus au bout de ses lourdes mamelles heurtent le carrelage froid à chaque mouvement effectué vers une croquette.
Au gonflement de sa chatte exhibée sans pudeur, aux suintements qui coule le long de ses cuisses jusqu’au sol, je vois combien elle affectionne d’être traitée comme une chienne, reléguée au rang d’animal obéissant à ses maîtres.
L’homme qui l’a tient apprécie également son nouvel animal de compagnie. Entièrement nu lui aussi, son sexe dressé jusqu’au nombril ne laisse aucun doute sur l’attrait qu’il a pour cette femelle docile.
La femme est la seule à porter un semblant de vêtement. Et quelle tenue ! Un gode à ceinture d’un noir sombre et d’une dimension impressionnante est accroché à sa taille. Quand j’ai fait irruption dans la cuisine elle se dirigeait vers le derrière dressé de la bonne, s’apprêtant très visiblement à se l’approprier.
A mon entrée un silence de plomb s’installe dans la pièce, simplement troublé par le frottement des tétons sur le carrelage. L’homme et la femme sont figés. Seule la bonne continue à lécher son écuelle, j’ai même le sentiment que son suintement vaginal s’accélère, comme si l’intrusion de la fille des patrons, qui constate ainsi son avilissement, l’excite d’avantage.
Folle de rage, sans un mot, je pénètre dans la salle. Je tourne autour d’eux les dents serrées.
Le couple tête baissée, honteux, n’ose prononcer un mot. Même la cruche le nez dans sa gamelle ...